Etude sur l’électrosensibilité

Une étude de JPC

Extraits

Le syndrome des micro-ondes

Dès 1942, des militaires en contact avec les radars se sont plaints de maux de tête, nausées, vertiges, cuisson, irritations et autres symptômes qui ont été attribués aux rayonnements de micro-ondes émis par ces radars; ces symptômes ont rapidement été regroupés sous le nom de « syndrome des micro-ondes », et donné à un industriel l’idée de concevoir le four à micro-ondes.

Pourtant, soixante ans plus tard, des ministres de la santé du monde entier ont autorisé l’industrie des télécommunications à lancer sur toute la population des technologies basées sur ces mêmes micro-ondes, en supposant qu’à des intensités plus faibles, le « syndrome des micro-ondes » n’apparaîtrait pas. Supposition qui semble toutefois ne pas coller à la réalité, car dès 2003, des utilisateurs d’internet sans fil wifi et de téléphones portables sont tombés malades et ayant fait le rapprochement, ont abandonné ces technologies et témoigné sur internet. Comme les micro-ondes portent nettement plus loin que les propriétés des utilisateurs, et traversent murs, plafonds et fenêtres, des voisins sensibles ont également commencé à en souffrir, mais eux n’ont pas eu la possibilité de couper les émetteurs.

Au lieu d’arrêter tout de suite l’expérience, les ministres de la santé ont préféré considérer les « électro-sensibles » comme des cas isolés, et leurs plaintes comme psychosomatiques. Ils ont préféré accepter la fulgurante escalade qui s’en est suivi, non seulement des émetteurs privés, mais cette fois aussi d’antennes publiques de wifi, wimax et umts (la nouvelle génération de Gsm dont l’écran peut afficher internet ou la Télévision). Tous émettent des micro-ondes de 2 gigahertz et plus, comparables à celles utilisées dans les fours. Les nouvelles antennes-relais ont été et continuent d’être ajoutées à celles de l’ancien réseau Gsm, dont se plaignent pourtant les riverains d’antennes depuis longtemps, parfois plus de 15 ans.

Des micro-ondes pour éviter les fils

Umts, Wifi, Wimax, Mimo, Icity, Dect, Blue Tooth, alarmes sans fil … Toutes ces technologies ont un point commun: elles utilisent l’air au lieu de câbles, pour la transmission de signaux électriques digitaux. Ces signaux électriques sont mélangés à un autre signal électrique de très haute fréquence, 2 GHz (gigahertz) ou plus, appelé porteuse. Le résultat est un signal modulé, un peu comme du morse, qui, une fois envoyé à une antenne d’émission, entraîne spontanément un rayonnement de micro-ondes au départ de l’antenne. Ces micro-ondes propagent et éparpillent dans l’air l’énergie du signal électrique, sous forme de paquets élémentaires d’énergie que nous appellerons « photons ». Au plus loin de l’antenne que l’on se trouve, au plus les « photons » sont éparpillés, donc moins les êtres vivants n’en reçoivent sur eux, et aussi moins les antennes des récepteurs (gsm3G, 4G, pc portable, téléphone portable, modem…) n’en captent. Le nombre de ces particules chargées électriquement, que nous appelons désormais injustement « photons », diminue, mais l’énergie de chaque « photon » reste la même à 1 centimètre ou à 10 kilomètres de l’antenne.

A partir d’une certaine distance de l’émetteur, on dépasse le champ d’action ou « portée » : la quantité de « photons» devient insuffisante pour qu’un récepteur puisse décoder le signal « morse ». Mais les êtres vivants, plus volumineux, restent bombardés de « photons » bien plus loin que la portée d’émetteur. Même à une distance où un mesureur de champ ne détecterait plus rien. Pour rappel, chacun de ces « photons » ne devient pas moins énergétique ou dangereux lorsqu’il est plus loin de l’émetteur.

C’est seulement le nombre de « photons » qui diminue, vu la dispersion.

Par contre, l’énergie des « photons » dépend de la fréquence de la porteuse, et de rien d’autre d’ailleurs : disons que sous 1 GHz, on a de « petits » « photons », et à partir de 1 GHz, de « gros » « photons ».

A 2 GHz, les « photons » sont deux fois plus gros qu’à 1 GHz, et ainsi de suite.

Une pluie incessante de photons

Les émetteurs utilisés pour la radio et la télévision utilisent des porteuses de fréquence plus « petites » (quelques centaines de kilohertz à quelques centaines de mégahertz tout de même), et donc des « photons » d’énergie plus petite, que les nouvelles technologies. Bien que présents en très grand nombre, car issus d’émetteurs très puissants, ces « petits » « photons » semblent inoffensifs. En effet, les gens vivent en moyenne plus longtemps qu’au 19ème siècle, or les émissions radio ininterrompues ont commencé en 1907 avec l’invention de la radio.

Pour autant que l’on ne change pas le type de modulation utilisée pour ces transmissions « basse » fréquence, il n’y aurait donc pas lieu de s’en inquiéter (hélas il est prévu de changer cela aussi).

Pourquoi de plus gros « photons » seraient-ils dangereux ? La réponse est peut-être donnée par la spectrophotométrie. Elle montre qu’un seul gros « photon » issu d’un émetteur d’ondes giga hertziennes suffit à modifier l’état d’un atome de potassium, présent dans nos cellules, et fondamental pour notre physiologie, alors qu’une grande quantité de petits « photons » issus d’un émetteur d’ondes méga hertziennes n’y parvient pas.

D’autres éléments que le potassium sont dans le cas, et au plus on monte en fréquence, au plus d’éléments changent d’état.

Oui mais pour la lumière alors, les « photons » sont encore bien plus gros ? Exact, seulement les « photons » de lumière sont arrêtés par la peau, alors que ceux de micro-ondes pénètrent sous la peau. Car les ondes, et donc les « photons » qu’elles transportent, ont la propriété de pénétrer notre organisme d’autant moins profondément que leur fréquence est grande, ou dit autrement, que leur longueur d’onde est petite. Là où les « photons » s’arrêtent, leur énergie continue sous une autre forme : thermique, électrique…

Notre peau est certainement conçue pour arrêter les « photons de lumière », et gérer la transformation de leur énergie: la lumière existait bien avant nous, et pourtant nous sommes là. Même si la capacité de la peau à effectuer cette tâche varie d’un individu à l’autre, on peut se protéger du soleil, l’OMS le recommande d’ailleurs, il faut éteindre la lumière avant de se mettre au lit.

Contrairement à la lumière :

1) le bombardement de gros « photons » de micro-ondes est un phénomène nouveau, du moins à grande échelle, sur toute la population : pour certains, c’est depuis 20 ans, pour d’autres, depuis quelques années.

2) Il a lieu 24 heures sur 24, même au lit.

3) Il n’est hélas pas déconseillé par l’OMS.

4) Il est très difficile, voire impossible d’y échapper.

5) Une grande partie de ces « photons » traverse la peau, atteignant des organes probablement non conçus pour y résister, on en reparlera plus loin.

Multiplication des antennes-relais

Dans le cas des appareils privés, un récepteur ne peut fonctionner qu’à l’intérieur du périmètre de portée. Mais dans le cas des émetteurs publics, comme les opérateurs ont une mission, n’est-ce pas ? Celle de couvrir tout le territoire, afin de pouvoir capter partout, sans câble Internet ou la Télévision « haut débit » (il faut mentionner cette précision car capter la TV n’importe où est déjà possible depuis des décennies), pour cela ils ont dû recourir à 3 solutions :

-Augmenter la puissance des émetteurs, ce qui allonge la portée

-Recourir à des antennes directionnelles, ce qui allonge également la portée (mais elles nous visent comme des canons)

-Quadriller tout le territoire avec de nombreux sites d’antennes-relais qui émettent le même signal au delà de la portée, autrement dit qui bombardent de « photons » les endroits où il n’y en avait pas assez.

Malheureusement cette pluie ininterrompue et omniprésente de micro-ondes et de « photons » de micro-ondes, semble insupportable pour un certain nombre d’êtres vivants. Pas seulement pour les personnes qui se considèrent elles-mêmes comme « électro-sensibles », rares selon nos autorités, quoiqu’il n’existe aucun recensement à ce sujet ! Mais combien d’autres ont-ils perdu leur santé à cause des micro-ondes, sans s’en douter ? L’incompréhensible attitude de rejet par la plupart des médecins n’aidant évidemment pas…

Est-il si insensé de faire un parallélisme entre le fulgurant déploiement d’émetteurs et antennes-relais de ces dernières années, et une multiplication de malaises soudains, cancers, crises cardiaques, ruptures d’anévrisme, maladies de peau, de gorge, des yeux, des nerfs, du dos, acouphènes, fatigue chronique, allergies, asthme, dépressions, accidents de la route et autres traumatismes… Mais aussi une étrange explosion d’agressivité et de violence gratuite, à propos desquelles nos politiciens crient au scandale, sans pouvoir donner d’explication plausible.

Il vaudrait mieux le prendre au sérieux, ce parallélisme, car si la puissance des irradiations fait sourire certains, il y a une autre donnée que nos responsables politiques ont eu tort de négliger: l’accumulation d’énergie absorbée par notre organisme. La relation entre les deux ? La durée d’exposition, qui elle ne fait qu’augmenter : énergie = puissance x temps.

Voyez ce qu’il advient des aliments dans un four à micro-ondes après 3 minutes. Si la puissance des nouvelles technologies sans fil est plus faible qu’à l’intérieur d’un four, la durée d’exposition, elle, est infiniment plus importante, donc aussi l’énergie absorbée par notre organisme, à laquelle celui-ci doit faire face en permanence pour ne pas cuire. Malheureusement cette autodéfense est épuisante. Ce sont d’abord de petits picotements, puis des états de fatigue, accélérations cardiaques, malaises, échauffements, auxquels beaucoup ne prêtent plus attention, mais les « photons » de micro-ondes continuent discrètement leur oeuvre de destruction, jusqu’aux complications ou malaise final. Des premiers cas de mort subite et incompréhensible ont eu lieu ces derniers mois. Il faut hélas en prévoir une accélération soudaine.

Chaleur insupportable et micro-ondes

Avez-vous déjà ressenti que le soleil « tape » plus fort qu’avant ? Ces nouvelles antennes d’umts, wifi, wimax, qui poussent partout, sur les toits, sur de vilains pylônes ou camouflées dans les postes de transformation éléctrique sous le vocable de « concentrateurs », et ces millions de téléphones sans fil, alarmes sans fil, internet sans fil, Blue Tooth introduits innocemment chez soi … pourraient-ils contribuer à rendre la chaleur estivale insupportable ? Vous pouvez vous en rendre compte par vous-même, en tentant l’expérience suivante :

1) Débranchez du réseau électrique vos émetteurs privés (Téléphones, Box, Wifi, Blue Tooth, ect..) et surtout enlevez les piles, même si vous pensez qu’ils ne sont pas en cours d’utilisation

2) Couvrez les chassis de vos fenêtres de moustiquaire en aluminium, côté extérieur si possible

3) Couvrez vos murs et plafonds de feuilles d’aluminium, électriquement reliées entre elles et à la terre.

A chacune des étapes, si vous constatez un agréable soulagement, vous saurez que votre inconfort était dû …aux micro-ondes !

Explication. Il y a beaucoup de chance pour que vos téléphones sans fil en émettent en permanence, même lorsque vous n’êtes pas en conversation, même lorsqu’ils sont reposés sur leur socle. Les mailles des moustiquaires laissent entrer le soleil, mais atténuent fortement les micro-ondes télécom en provenance des voisins et des antennes publiques. En couvrant aussi les murs, vous arrêterez les micro-ondes qui passent au travers, et retrouverez le climat agréable des étés précédents, sans recours aux climatiseurs. Je vous parle d’expérience. Ces travaux vous seront bénéfiques aussi aux autres saisons. Et non seulement vous vous sentirez mieux, vous dormirez mieux aussi, d’un sommeil réparateur stoppant la fatigue chronique.

Destruction du comportement social, violence gratuite et meurtrière

Il faut tout de même admettre que des nouveaux accès de violence nous tombent dessus en même temps que la multiplication d’émetteurs et antennes de micro-ondes à 2 gigahertz ou plus. Pur hasard ? Des expériences ont montré que notre taux de sérotonine diminue sous une irradiation de micro-ondes, avec comme conséquence, selon les prédispositions de chacun : mal-être, dépression, suicide, agressivité ou violence. A mon humble avis, en général, ce serait plutôt la violence pour les jeunes, souffrance et suicide chez les plus de 40 ans.

De plus en plus d’individus se laissent emporter par une violence spontanée, allant parfois jusqu’à commettre des actes barbares que ni un élémentaire calcul d’enjeu, ni le moindre sentiment de justice « cette personne ne m’a rien fait » ou de peur « si on me prend je serai condamné » ne viennent inhiber. Or, pour beaucoup de scientifiques, un tel comportement agressif serait inné, chez tous les êtres humains, le comportement social ne se développant qu’ensuite, avec l’éducation.

A consulter

http://www.sciencepresse.qc.ca/jdm/jdm93.html

http://www.arte-tv.com/fr/histoire-societe/arch

En détruisant nos facultés mentales, les micro-ondes pourraient faire oublier cet apprentissage, et agir comme « catalyseur » en quelque sorte, sur des individus prédisposés (ados éduqués dans un environnement raciste, anciens pervers considérés comme guéris,…). Tout comme la prise de drogue ou d’alcool. Pire même, car il s’agit ici de « prise en continu » !

Notons que les champs électromagnétiques étaient déjà connus des tortionnaires au XXème siècle, ils ont été utilisés pour faire parler ou faire souffrir. Aujourd’hui le Ministre de la Santé a pris la place des dictateurs pour autoriser cette arme avec encore plus de méchanceté, puisque de manière permanente, sur toute la population, qui ne lui a rien fait et dont il a la santé sous sa responsabilité !

Si l’intensité est plus faible, elle est loin d’être négligeable, car l’organisme humain est beaucoup plus sensible qu’on ne le croit, cela s’est vérifié avec les potions au radium, les rayons X, le tabagisme passif, l’amiante, certains vaccins, … A ces intensités faibles, le drame n’apparaissait pas tout de suite, mais avec le temps …

Insouciance du Ministère de la Santé

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