Puissance active, réactive, apparente

Des définitions pas faciles à comprendre !

Dans cet article, il sera question de sciences. Ce ne sera pas évident. Mais ceertain.es comprendront.
Cet article s’explique par ce qui s’est passé lors d’une réunion publique dans le Nord. Nous avons été interpelés par une personne qui se disait ingénieur et qui prétendait que tout ce que nous avions dit sur le changement d’unité de puissance  (et sur tout d’ailleurs !)  était nul. Nous étions contents d’avoir un contradicteur. Il allait enfin nous expliquer pourquoi nous étions nuls. Cela ne s’est pas passé comme cela. Après cette virulente attaque, ce monsieur est parti sans rien dire d’autres ! Dommage car nous aurions aimé savoir pourquoi il nous avait traités.

Donc ce premier document n’est pas essentiel pour comprendre mathématiquement pourquoi le passage de la puissance en kWh à celle en kVA sera défavorable à l’usager. Il permet principalement de montrer cette arnaque … avec des connaissances en physique. Nous essayons de le faire le plus simplement possible ; ce  n’est pas très grave si le but n’est pas atteint car tout le monde sait que ce problème de puissance pas le critère principal de notre refus de ce compteur « intelligent ».

************         ************

Définition de la puissance réactive

Pour la plupart des charges électriques comme les moteurs, le courant I est en retard sur la tension V d’un angle φ.

Si les courants et tensions sont des signaux parfaitement sinusoïdaux, on peut utiliser un diagramme de représentation vectorielle.

Dans ce diagramme vectoriel, le vecteur courant peut être décomposé en deux composantes: l’une en phase avec le vecteur tension (composante Ia), l’autre en quadrature (en retard de 90 degrés) avec le vecteur tension (composante Ir).

Ia est appelée composante active du courant.

Ir est appelée composante réactive du courant.

Pour en savoir beaucoup beaucoup plus, lire le document en pièce jointe :

Définition de la puissance réactive