Wallers et les écrans

De jeunes acteurs vont dénoncer les dangers des écrans ce samedi

Des ateliers théâtre ont été mis en place depuis le mois de mars par le conseil citoyen d’Arenberg. Ces pièces dont le thème est le danger de nos écrans seront jouées ce samedi 20 janvier à 15 heures.

Deux groupes d’une dizaine d’enfants sont ainsi devenus les acteurs de deux pièces de théâtre ayant pour thème le danger des écrans. Le premier groupe concerne des enfants âgés de 8 à 10 ans. Après avoir fait des recherches sur les divers dangers que représentent les écrans, les enfants ont imaginés et rédigés des petites saynètes.

Les parents aussi…

Et cet exercice semble avoir porté ses fruits. Keltoum regarde moins la télé, Maëlle joue moins aux jeux vidéo et s’occupe plus de ses animaux, Nora constate qu’elle a de meilleurs notes depuis qu’elle a freiné l’utilisation de son téléphone… Un message à faire passer ? Les parents aussi regardent trop souvent leur téléphone et n’écoutent plus leurs enfants.

Adapté d’un roman

Le second groupe est âgé de 11 à 14 ans et traite du même sujet, la différence ici c’est qu’ils ont appris leur texte comme de vrais acteurs. « C’est une pièce que j’ai adaptée d’un roman de Sophie Rigal-Goulard, qui s’appelle « Dix jours sans écrans », explique leur professeur et metteur en scène Stéphane Haudegon. Les enfants ont constaté qu’ils regardaient moins leurs écran et que ce groupe théâtral est devenu comme une seconde famille.

Salle du Léaud du site minier d’Arenberg, ce samedi 20 janvier à 15 heures (ouverture des portes à 14 h 30). Gratuit. Buvette et petite restauration sur place.

La Voix du Nord en date du 15 janvier

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Dix jours sans écrans

Un roman de Sophie Rigal-Goulard

Poche – Illustré, 17 août 2022

Dix jours entiers sans le moindre écran !
C’est le challenge proposé à la classe de Louis et Paloma par leur maîtresse. Il faudra laisser éteints son ordinateur, sa télévision, sa console, et rester éloigné des téléphones portables et des tablettes…
Si Paloma accepte de relever ce défi, Louis, lui, s’y oppose et crée même le club des « anti-défi ». Toutefois, dans les ateliers créés pour résister à l’attraction des écrans, les deux héros découvrent leurs points communs…