Ecoutons-là parler de la 5G !
Les collectifs suivants :
Collectif ACCAD (Artois-62 Douaisis-59)
Collectif avionnais CALGEA 62
Collectif boulonnais (62)
Leforest-Environnement (62)
Collectif stop Linky Lambersart (59)
Collectif Pays de Condé (59)
Avaient pris l’initiative de recevoir Annie SASCO ; cela devait avoir lieu :
- Le vendredi 3 avril à Lens
- Le 4 avril à Lille
- Le 5 avril à Saint-Amand-les-Eaux
A cause de ce coronavirus, Annie SASCO ne peut pas venir. Elle est évidemment très occupée dans les hôpitaux.
Comme elle a parlé en différents endroits, nous avons choisi de l’écouter quand elle était dans son pays basque.
A défaut de la voir physiquement, il est important de regarder cette vidéo. Cela ne remplace pas une conférence, mais c’est mieux que rien.
« La 5G en Question » Conférence débat Par Annie Sasco
Organisée par CALA 28 /11/19 à Anglet
https://www.youtube.com/watch?v=Yv9UcUhD7xg
1 h 21
Annie Sasco a été nommée en 2011 par décret interministériel au Haut Conseil des Biotechnologies (OGM) où elle a siégé pendant trois ans. Elle a travaillé pendant 22 ans au Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) – Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Lyon, où elle a fondé et dirigé pendant neuf ans le Programme puis l’Unité de Recherche CIRC d’Epidémiologie pour la Prévention du Cancer et a été aussi pour deux ans Directrice par intérim du Programme de contrôle du Cancer de l’OMS, avant de revenir à l’Université de Bordeaux comme Directrice de recherche dans une unité INSERM. Elle possède une habilitation à diriger des Recherches de l’Université de Lyon. Elle est l’auteure de plus de 400 publications, dont plus de 190 indexées dans Medline et membre de multiples comités éditoriaux et associations scientifiques.
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L’appel des scientifiques de septembre 2017
« Nous, soussignés scientifiques, recommandons un moratoire sur le déploiement de la 5G, la cinquième génération de support hertzien pour les communications mobiles, jusqu’à ce que les dangers potentiels pour la santé humaine et l’environnement aient été complètement évalués par des scientifiques indépendants de l’industrie.
La 5G augmentera considérablement l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) par rapport aux réseaux existants 2G, 3G, 4G, Wi-Fi etc. Il est prouvé que les émissions CEM-RF sont nuisibles à l’homme et à l’environnement », suivie d’une demande de constitution d’un groupe de travail de parlementaires, la réponse de l’Union européenne a pour l’heure été très laconique et… négative :
« Conformément à l’article 168 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, la responsabilité première de la protection de la population contre les effets nocifs potentiels des champs électromagnétiques incombe aux États membres, y compris le choix des mesures à adopter en fonction de l’âge et du statut sanitaire ».