Ondes et Covid

La preuve scientifique en est maintenant établie

Plus les personnes gravement malades de la COVID sont exposées aux rayonnements des antennes cellulaires et autres sources de contamination électromagnétique, plus ce facteur de risque contribue à leur décès. Les comorbidités n’expliquent pas tout.

LES TOURS DE LA MORT – THE DEATH TOWERS

Précisons d’abord une chose essentielle : La 5G n’est PAS la cause de la maladie associée à la pandémie mondiale.

Mais une étude scientifique publiée en septembre (voir son résumé ci-dessous), et ayant subi un processus exceptionnellement rigoureux de révision par des pairs (voir la note ci-dessous), apporte des preuves probantes que l’exposition aux rayonnements micro-ondes des réseaux 3G, 4G et surtout 5G, COMBINÉE à une infection par ce fameux coronavirus augmente fortement le risque d’en décéder.

Post Scriptum: En complément voir…

3 studies on RF/5G and COVID and the censorship blocking these papers

https://www.cqlpe.ca/pdf/3_studies_on_RF5G_

… qui apportent de nombreux éléments troublants démontrant les similitudes frappantes entre les effets cliniques de la Covid et ceux résultant d’une surexposition aux rayonnements micro-ondes, notamment dans le cas de la Covid longue, dont les 2/3 des personnes atteintes n’ont pas été infectées par ce virus.

Voir également à

https://bit.ly/31jUrG8

les commentaires des 12 experts ayant révisé cette étude avant sa publication, ainsi que les réponses détaillées (en rouge) fournies en réaction à leurs commentaires.

  • NOTE: D’autres scientifiques vérifiant la validité d’une étude avant sa publication dans un journal scientifique – il y en a eu 12 au lieu de 3 à 5 comme c’est habituellement le cas ainsi que le rapportait dans un courriel une des auteures de cette étude qui ajoutait :(traduction) « Je n’ai jamais connu un processus d’examen par les pairs aussi extraordinaire et j’ai publié plus de 90 articles scientifiques et médicaux dans le passé. En fin de compte, nous avons dû « adoucir » le langage de notre article pour le faire accepter. Nous avons déclaré que le rayonnement des communications sans fil, y compris la 5G, n’est qu’un facteur POSSIBLE contribuant à la pandémie, même si nous pensons que les preuves suggèrent une conclusion plus solide.

Les médias traditionnels du monde entier ont tourné en ridicule ceux ayant signalé qu’il y a une étrange corrélation entre les endroits où des réseaux 5G avaient été activés et ceux où le taux de mortalité lié à cette infection était le plus élevé. Certaines personnes en ont hâtivement conclu que la 5G était la véritable cause de ces morts et non un virus auquel ils ne croyaient pas. Et les médias ont eu raison de contrer cette conclusion hâtive inexacte. Mais ce faisant, ils ont contribué à faire en sorte que les autorités de la santé n’ont pas cru bon de prendre en compte ce facteur aggravant dans leur analyse des causes et de la gravité de cette pandémie.

Comme les auteurs de cette étude l’indiquent dans leur introduction…

« Selon le Center for Disease Control and Prevention (CDC), le modèle le plus simple de causalité de la maladie est la triade épidémiologique composée de trois facteurs interactifs : l’agent (pathogène), l’environnement et l’état de santé de l’hôte. Des recherches approfondies sont en cours sur l’agent, le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2). Les facteurs de risque qui rendent un hôte plus susceptible de succomber à la maladie ont été élucidés. Cependant, les facteurs environnementaux n’ont pas été suffisamment explorés. Dans cet article, nous avons étudié le rôle du rayonnement des communications sans fil (WCR), un facteur de stress environnemental répandu. »

Il est donc parfaitement raisonnable de croire que l’exposition chronique à un contaminant environnemental désormais omniprésent — et en forte augmentation là où les réseaux 5G sont déployés — ait pu contribuer à aggraver les effets de cette infection virale. De fait, un tableau comparatif inclus dans la 4e page de cette étude de 10 pages (+6 pages de références) illustre bien la similitude entre les effets scientifiquement démontrés (quoiqu’en disent ceux qui nient toujours ce fait pour protéger les intérêts de l’industrie du sans fil) d’une exposition chronique aux rayonnements des sources d’émissions sans fil et les effets graves attribués à ce virus ayant causé de si nombreux décès.

Une fois de plus, la démonstration est faite que le déploiement hâtif mondial des réseaux 5G, sans études d’impacts préalables pour en démontrer l’innocuité, soumet la population mondiale à des effets nocifs dont on savait déjà — quand on veut bien l’admettre! — que les générations antérieures 2G, 3G et 4G avaient largement contribué à provoquer — les autres causes d’impacts nocifs étant bien sûr les multiples appareils sans fil et réseaux WiFi que l’on retrouve aujourd’hui dans la plupart des lieux de résidence et de travail de la majorité des humains aujourd’hui.

Voici la traduction du résumé de cette étude que vous pouvez consulter à

https://www.jctres.com/…/%5B5%5D%20JC

 

RÉSUMÉ

Preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences provenant des communications sans fil, y compris la 5G

Contexte et objectif : Les politiques de santé publique de la maladie à coronavirus (COVID-19) se sont concentrées sur le virus du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés. En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus qui a causé la pandémie de COVID-19, a fait surface à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en œuvre du rayonnement de la cinquième génération [5G] de communications sans fil [CSF]) et s’est rapidement propagé à l’échelle mondiale, démontrant initialement une corrélation statistique avec les communautés internationales avec les réseaux 5G récemment établis. Dans cette étude, nous avons examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes des CSF et identifié plusieurs mécanismes par lesquels les CSF peuvent avoir contribué à la pandémie de COVID-19 en tant que cofacteur environnemental toxique.

En franchissant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la physiopathologie, nous présentons des preuves que les CSF peuvent : (1) provoquer des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ; (2) altérer la microcirculation et réduire les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine exacerbant l’hypoxie ; (3) amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ; (4) augmenter le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres entraînant des lésions vasculaires et des dommages aux organes ; (5) augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération virales, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et (6) aggraver les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

Pertinence pour les patients : En bref, les CSF sont devenues un facteur de stress environnemental omniprésent qui, selon nous, pourrait avoir contribué à des effets néfastes sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et augmenté la gravité de la pandémie de COVID-19. Par conséquent, nous recommandons à toutes les personnes, en particulier celles souffrant d’une infection par le SRAS-CoV-2, de réduire leur exposition aus CSF autant que cela est raisonnablement possible jusqu’à ce que des recherches supplémentaires clarifient mieux les effets systémiques sur la santé associés à l’exposition chronique aux CSF.

English version further below

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