Incendie de batteries

Il y aura TRANSPARENCE dans l’information !!! D’ailleurs, c’est déjà un non-évènement puisque l’incendie est maîtrisé.

Une usine de batteries au lithium appartenant à Bolloré est partie en fumée à Rouen

En plus du désastre écologique, en cours et futur, lié au développement des véhicules électriques, la question de la sécurité de tels engins doit être posée :

https://www.midilibre.fr/2023/01/17/incendie-pres-de-rouen-l

N’ayez pas peur : on maîtrise la situation. C’est le préfet qui l’a dit. Comme le préfet de l’époque l’avait dit pour l’incendie de l’usine pétrochimique Lubrizol (près de Rouen) !

Ce n’est pas le même scénario car l’usine de batteries n’est pas classée Seveso !
Dormez tranquilles, braves gens !

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Circulez, il n’y a rien à voir

Une preuve : « le Monde » n’en parle plus »

Une autre preuve : « l’État rassure »

Un extrait d’article de mediapart sous la plume de J. Lindgaard

Pollution : l’usine brûle, l’État rassure

À Grand-Couronne, au sud de Rouen, un grave incendie a dévasté un entrepôt stockant des produits toxiques, notamment pour Bolloré Logistics. La préfecture s’est empressée de nier les risques, en dépit des rapports d’expertises sur la dangerosité du sinistre.

Malgré les flammes, la noirceur de la fumée et la taille de son panache, allongé sur sept kilomètres, il n’aura fallu que 3 h 20 à la préfecture de Seine-Maritime, lundi 16 janvier, pour écarter l’idée d’une menace. À Grand-Couronne (Seine-Maritime), un grave incendie a ravagé un entrepôt de Bolloré Logistics, stockant 12 250 batteries au lithium, à proximité de 70 000 pneus, eux aussi partis en fumée.
Dans cette commune du sud de Rouen et dans la métropole normande, l’odeur de brûlé et la vue de la fumée ont aussitôt ravivé le traumatisme de Lubrizol, cette usine d’huiles de moteur détruite en 2019 par un violent sinistre. Des images spectaculaires ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux.
Le feu se déclare lundi après-midi, à 16 h 30, selon la préfecture. À peine trois heures plus tard, à 19 h 52, elle publie sur son compte Twitter un message annonçant qu’
« aucun élément particulier préoccupant » n’a été mesuré par les pompiers. À 0 h 45, elle communique un nouveau point de la situation : « À ce stade, aucun risque particulier n’a été identifié. » À 8 heures le lendemain matin, même message : « À ce stade, aucun risque particulier n’a été identifié. » Mardi 17 janvier à 19 heures, plus de 24 heures après le début de l’incendie, le bilan est toujours aussi rassurant : les mesures prises dans l’environnement par les pompiers « n’ont pas montré de risques pour la population dans le département ».

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A propos de lithium

un article dans la revue auvergnate « la galipote » n° 147

40/42 Lithium… En Auvergne aussi, le terrain est diablement miné. 

Pour acheter le numéro bien fourni -et pour aider le journal :

https://galipote.jimdofree.com/