Pourquoi ne pas remplacer le compteur-capteur Linky par un compteur (pas capteur) ?
Étant possesseur à titre privé d’un compteur neuf de la génération précédente (les compteurs blancs, en l’occurrence un Landys&Gyr référence ZCD126.01 heures creuses-pleines), le même qui est attribué à mon logement, j’ai pris la peine de consulter ses caractéristiques, et effectivement il est possible de recueillir à distance l’index — ce qui démontre sans aucune contestation possible que la relève à distance est possible :
– sans changer les compteurs, ni ajouter la consommation du mini-ordinateur, certes fruste, mais existant, inclus dans la machine comme dans toutes les machines dites « connectées » comme les voitures ou les capteurs tellement divers
— sans ajouter des concentrateurs, dont je ne connais pas le coût global, mais il est certainement important, et qui nécessairement ont un coût énergétique
— sans imposer à tous, EHS compris (mais à terme, ne le deviendrons-nous pas tous ?) le CPL y compris des CAPTEURS des voisins
Il est patent que quelques politiciens liés aux industriels en général (de l’électronique, mais aussi de la manipulation des foules, ou autres) ont tout fait pour adopter dans le contexte français un système déjà obsolète dès son choix (merci en particulier entre autres à un grand patron devenu commissaire européen)
Cela s’insère dans une volonté farouche de CONTRÔLER tout le monde, de toutes les façons possibles, une volonté qui s’oppose à toute la trame de collectifs et associations internationaux soucieux de notre droit à l’oubli, de notre droit à l’intimité, de notre droit à ne pas être éventuellement soumis sans notre autorisation éclairée à ces risques, y compris le risque de santé que dénoncent depuis beaucoup d’années d’éminents scientifiques indépendants des Grandes Entreprises Mondiales (et largement majoritaires).
Désormais l’enjeu est lié à toutes les fréquences pulsées internationales (y compris via le sonar), et depuis bien plus longtemps qu’on ne l’imagine.
X (parlant en son nom propre)
44 Nantes contre Linky
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Un document rédigé à ce sujet en 2018
Vers une alternative plus humaine et plus environnementale au projet industriel Linky
Oui, le compteur blanc électronique peut faire tout ce que ENEDIS affirme publiquement pouvoir faire grâce au compteur Linky. Il lui est aussi possible de gérer jusqu’à 10 grilles tarifaires. Pour qu’il puisse communiquer les données de consommation il suffit de le raccorder :
– soit à un émetteur de radiofréquences aériennes comme les compteurs communicants du Continent Américain mais, ce n’est pas souhaitable sur le plan sanitaire,
– soit de le raccorder au réseau de fibre optique d’EDF, cette solution serait la plus intéressante,
– soit d’utiliser le réseau internet et l’ADSL.
Par contre il ne peut pas intégrer le CPL, lequel dans son évolution G3, intègre le protocole IPV6 qui permet, via le compteur, de prendre le contrôle des appareils électriques raccordés au 220V. C’est la principale raison pour laquelle ENEDIS tient tant à son compteur Linky et son CPL. Ce thème est développé dans une autre publication
Un des arguments possible, pour une délibération municipale envers Linky, est que le projet industriel Linky d’Enedis est parfaitement inutile, même pour des collectivités territoriales, pire, ce projet est un désastre financier, sociétal et économique.
Un modèle de projet industriel à lui opposer serait d’équiper les compteurs blancs actuels d’un module de communication de préférence par la fibre optique. En effet, depuis 20 ans, EDF a entrepris d’adjoindre à son réseau de lignes électriques un réseau de fibre optique qui doit progressivement s’étendre à tout le réseau français.
Ce réseau de fibre optique devait lui permettre de proposer des services payants de type internet et transmission de données.
Quelque soit le stade d’avancement du réseau de fibre optique, il est clair qu’avec les quelques milliards d’Euros économisés, si le projet Linky est stoppé, EDF aurait largement de quoi mener à terme ce projet et ainsi équiper tous les foyers français d’un réseau de fibre optique de qualité.
Ce type de projet aurait eu toute sa place dans une vraie transition énergétique
Par contre, cette proposition ne règle nullement la problématique de la collecte, et utilisation des données privées.
Pour Robin des Toits: Patrice Goyaud, Docteur Ingénieur en physique et retraité d’EDF/RTE