La technologie au service de la puissance militaire
Qu’est-ce que l’armée a à voir avec la course à la numérisation de la Terre, des océans et du ciel ? Et pourquoi nos voix sont-elles ignorées ?
Afin d’assurer leur puissance militaire, c’est-à-dire leur domination, leur avantage économique et leur pouvoir sur les autres, les pays se sont lancés dans une course à la technologie. Une connectivité rapide, omniprésente et sans fil… partout. PARTOUT. MAINTENANT !
Au Congrès américain, vingt-huit projets de loi étaient à l’étude en mai 2023.
Voici la présentation qui en est faite par le sous-comité des communications et de la technologie, qui présente 28 projets de loi visant à combler le fossé numérique :
« Nous devons supprimer les charges réglementaires et réduire les formalités administratives, qui ont entraîné des retards inutiles dans la délivrance des permis et des coûts exorbitants pour le déploiement de notre infrastructure de communication. Si nous ne supprimons pas ces obstacles, une quantité record d’argent du contribuable sera gaspillée et nous ne parviendrons pas à réduire la fracture numérique pour les familles et les entreprises dans les communautés non desservies. »
28 projets de loi pour « réduire la fracture numérique ». VRAIMENT ? Y a-t-il une autre raison à tous ces projets de loi ? Consultez les liens suivants et décidez par vous-même.
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Voici un document sur 2020 publié par le ministère américain de la défense (DOD). « Cette stratégie traite de la manière dont le ministère de la défense va « …développer des capacités EMS supérieures ; évoluer vers une infrastructure EMS (spectre électromagnétique) « agile » et entièrement intégrée ; poursuivre la préparation EMS de la force totale ; garantir des partenariats durables pour l’avantage EMS ; et établir une gouvernance EMS efficace pour soutenir les objectifs stratégiques et opérationnels. Les investissements dans ces domaines permettront d’accélérer la transmission d’informations de qualité décisionnelle au combattant, de mettre en place une gestion efficace de la bataille électromagnétique (EMBM), de permettre le partage du SGE avec des partenaires commerciaux, de faire progresser les capacités de combat du SGE et de garantir que nos forces maintiennent la supériorité du SGE ». Plus d’informations ici.
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Air Defender 23 se déroulera dans l’espace aérien européen du 12 au 23 juin. Il s’agit du « plus grand exercice de déploiement de forces aériennes de l’histoire de l’OTAN et d’une démonstration de la solidarité transatlantique… jusqu’à 10 000 participants à l’exercice provenant de 25 pays avec 220 avions s’entraîneront aux opérations aériennes dans l’espace aérien européen sous le commandement de l’armée de l’air allemande ». Pour en savoir plus, cliquez ICI.
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Le Réseau mondial contre les armes et l’énergie nucléaire dans l’espace (logo ci-dessus) a été créé en 1992 « pour susciter une prise de conscience mondiale et une mobilisation active afin de protéger l’espace contre l’escalade des débris en orbite, la militarisation et l’armement, l’extension de l’énergie nucléaire dans les cieux et les préoccupations concernant l’appauvrissement de la couche d’ozone dû à l’augmentation du nombre de lancements ».
Les vidéos suivantes ont été diffusées par le réseau mondial.
L’intelligence artificielle du Pentagone
La guerre en Ukraine dépend de l’espace
Achieving Spectrum Superiority with Converged Cyber & Electronic Warfare. Video by Lockheed Martin (US weapons manufacturer).
Aerospace Nation: Electronic Warfare/Electromagnetic Spectrum Superiority Roundtable Mitchell Institute for Aerospace Studies.
Winning the Airwaves: The Future of DoD Electromagnetic Spectrum Operations – Hudson Institute
Pour accéder à de nombreuses autres vidéos et ressources du Global Network, cliquez ICI.
The Pentagon’s Artificial Intelligence
Ukraine War Depends on Space
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Les États-Unis « prêts à se battre dans l’espace s’il le faut », selon un responsable militaire
La menace posée par la Russie et la Chine « provocatrices » n’a pas laissé d’autre choix aux États-Unis que de se préparer à des escarmouches orbitales. (Cela ressemble un peu à l’histoire de la marmite, mais c’est juste pour dire….)
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Le secrétaire Austin approuve le plan de mise en œuvre de la stratégie de supériorité du spectre
« La stratégie de supériorité du spectre électromagnétique (EMS) adoptée aujourd’hui associe pour la première fois la guerre électromagnétique et le spectre électromagnétique », a déclaré le vice-président John Hyten. « Le plan I de la stratégie nous met sur la voie de la domination du futur espace de bataille. Nous sommes déterminés à y parvenir et à atteindre la supériorité en matière de spectre dans tous les domaines ». Article complet ICI.
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Obtenir la supériorité du spectre grâce à la guerre électronique et cybernétique convergente. Vidéo de Lockheed Martin (fabricant d’armes américain).
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Aerospace Nation : Electronic Warfare/Electromagnetic Spectrum Superiority Roundtable Mitchell Institute for Aerospace Studies.
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Gagner la guerre des ondes : The Future of DoD Electromagnetic Spectrum Operations – Hudson Institute (en anglais)
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IN-DEPTH : « C’est Skynet » : Le Pentagone envisage des armées de robots dans une décennie
La quête du Pentagone pour un champ de bataille dominé par l’IA devient une réalité – Epoch Times
« La nation qui sera la première à déployer la robotique et l’IA de manière cohérente dominera la prochaine guerre.
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EXCLUSIF : Le Pentagone veut « s’approprier la base technique » de la technologie de l’IA, selon un responsable de la R&D Plus de 100 officiers, fonctionnaires, universitaires et initiés de l’industrie discuteront de la manière de rendre l’IA plus fiable, des « aides à la décision » de type ChatGPT à la défense antimissile et à la cybersécurité, a déclaré Maynard Holliday, directeur adjoint de la technologie de l’information, à Breaking Defense.
« Une grande partie de la conférence vise non seulement à mieux comprendre ce qui se passe à la pointe de la technologie, mais aussi à déterminer comment l’armée peut adopter et adapter les technologies commerciales pour créer des capacités d’IA auxquelles elle peut faire confiance. – et contrôler ».
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Le chef des opérations du SPACECOM « fatigué des excuses » concernant les lacunes dans le suivi des satellites
Le général David Miller, qui n’est pas satisfait de la capacité de l’Amérique à suivre avec précision les satellites adverses, s’est emporté : « Quelqu’un doit trouver une solution. Le peuple américain a payé pour cela. Il faut que quelqu’un livre la marchandise ».