Et la 6G expérimentée à Manchester !
Des bracelets connectés pour des collégiens de la Sarthe !
Un scandale … qui ne fait bondir que peu de personne ! Au contraire !
Par souci pour leur santé, le département de la Sarthe a décidé d’équiper 7000 collégiens dès la rentrée 2022/2023 de bracelets connectés pour mesurer le nombre de pas effectués dans la journée, surveiller leur rythme cardiaque, se renseigner sur leurs habitudes alimentaires.
En 2026, 30.000 collégiens en seront « équipés ».
https://www.sarthe.fr/…/un-programme-sport-sante-pour…
« Les fameux bracelets ont été reçus tels des cadeaux de Noël par les enfants. Une fois enfilé à leur poignet, le bracelet ne les quittera pas durant les quatre années que durera leur scolarité dans l’établissement. »
https://www.bfmtv.com/…/sarthe-un-bracelet-connecte…
Anthony Trifaut, Président de la Commission Jeunesse déclare même « faire des envieux chez les départements voisins avec ce dispositif. Et même du côté de la Région qui se voit bien dupliquer le modèle dans les lycées ».
Les bracelets ont-ils été offerts aux enfants avec l’autorisation préalable des parents ?
On semble oublier qu’un bracelet ou une montre connectée, tout comme un téléphone portable, émet des ondes électromagnétiques.
L’EMField AM10 est un appareil qui mesure les hautes fréquences émises par les systèmes de communication sans fil wifi, bluetooth et les antennes relais.
On découvre dans cette vidéo la réaction de l’appareil à proximité de ce type de bracelet. Des pics supérieurs à 4 V/m toutes les secondes sont impulsés par le bracelet collé à la peau.
Les parents ont-ils donné leur accord pour que leurs enfants expérimentent les effets biologiques du port d’un bracelet connecté toute la journée pendant 4 ans (7 ans si l’opération se prolonge au lycée) ?
Résistance 5G Nantes
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Un cas d’école : les bracelets connectés des collégiens de la Sarthe
Le Conseil Départemental de la Sarthe vient de lancer une opération afin de lutter contre le manque croissant d’activité physique chez les jeunes. Selon les données en sa possession, le phénomène, déjà notable avant 2020, s’est accru depuis la crise sanitaire et les confinements. Le temps passé par les jeunes sur les écrans (télévision, ordinateurs, tablettes, ordiphones…) s’est encore accru. Dès la rentrée de septembre 2022, tous les élèves de 6ème des 75 collèges de la Sarthe vont être chacun dotés d’un bracelet connecté. Ce dernier collectera diverses données concernant leur activité physique (nombre de pas par jour, rythme cardiaque, température…). Ils le garderont durant les quatre ans de leur scolarité au collège. Il est prévu également que l’ensemble des 30.000 collégiens sarthois soient progressivement dotés de ce bracelet. Les données produites par le bracelet seront visibles par les jeunes mais aussi transmises en vue d’analyse. En retour, cela permettra de faire des recommandations aux jeunes. Les promoteurs de l’opération indiquent qu’il s’agit avant tout de motiver les jeunes à bouger, en particulier en suivant l’indicateur que constitue le nombre de pas qu’ils font dans la journée.
En très bref, les jeunes passent trop de temps sur des écrans ; pour remédier à cela, on leur donne un écran de plus.
Voici donc un véritable cas d’école. Il illustre la façon dont cette société connectée qu’on nous annonce fraie son chemin … et permet d’expliciter pourquoi nous n’en voulons pas. Ce refus a trait d’une part à son impact préoccupant sur nos santés et sur l’environnement. Les informations qui sont données au public sur ce projet sarthois n’en disent cependant pas un mot, ce qui, en soi, est significatif. D’autre part, nous est brossé le tableau d’une technologie numérique érigée en mythe salvateur, clé pour résoudre nos problèmes et aplanir les difficultés de l’existence. Nous n’y croyons pas. A l’image de ce cas d’école, les prothèses qu’elle nous offre font bien souvent davantage partie du problème que d’une solution durable ; elles génèrent addictions et dépendance au système industriel, financier et politique opaque qui les met en oeuvre. Elles nous éloignent un peu plus d’une société démocratique, formée d’individus autonomes, informés et responsables.
Robin des toits
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Commentaire
On ne fait évidemment pas le lien avec les implantations des antennes 5G.
C’est pour cela qu’il faut se réjouir quand un éleveur de l’Allier passe outre aux décisions du Conseil d’État… appuyé par des habitants, dont le maire
Il faut se réjouir quand deux maires, appuyés par des habitants, s’oppose à l’installation d’antenne Free à Lières (62)
Il faut aussi se réjouir quand, pour la seconde fois, une antenne a été mise au sol à Saint-Martin-lez-Tatinghem -près de Saint-Omer(62)
La lutte continue pour s’opposer à cette numérisation de la société ; ce qui entraîne des problèmes de santé, une surveillance et un espionnage liberticides…
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Autre commentaire
Edifiant effectivement.
Des bracelets contre le manque d’activité physique des jeunes. A l’école ou dans leur vie privée ?
A l’école, en toute logique, aucun besoin de cet artifice.
Ou alors que d’interrogations sur la compétences des professeurs d’activité physique. Ou bien il n’y en a aucuns …
D’ailleurs en terme de vie privée, de quel droit le conseil départemental de la Sarthe peut-il ainsi s’immiscer dans la vie privée des jeunes ? Et en plus il est fier de lui …
Et plus, il espère que cela fasse florès …
D’ailleurs ce conseil aura-t-il au moins la décence de demander leur autorisation, sinon au élèves, au moins à leurs parents, ne serait que par respect des citoyens français ?
Surtout à une époque ou il est considéré que de ne pas répondre est une acceptation, alors qu’en tout état de cause : « silence ne vaut pas acceptation ».
Puis un problème => une appli, c’est du même acabit qu’un problème => une loi qui résout tout sans pourtant ne rien résoudre.
En outre vouloir régler ce problème pour cause de trop d’écran en y rajoutant un, quelle logique implacable, mais surtout totalement contradictoire.
Peut être un effet de la « mythologie » des écrans.
Il est aussi tellement évident que s’attaquer à un problème sans en comprendre les causes afin de pouvoir agir dessus, c’est faire beaucoup de bruit pour rien, et surtout un magnifique coup d’épée dans l’eau. Comment est-il possible de passer à coté d’une telle vérité ?
De plus un gâchis de matières premières.
Et d’un point de vue sécurité, ce genre de gadget n’est pas le plus sécurisé du monde.
Il serait infiniment plus intelligent de faire en sorte que les personnes prennent la responsabilité d’elles-mêmes plutôt que de laisser cela à des outils sans âme, ni conscience.
Stop Linky Poligné
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Une première antenne 6G en Angleterre
Les habitants se retrouvent soudainement avec un poteau… de 15 mètres de haut juste devant leurs maisons: «c’est une horreur»
Le pylône se trouve juste devant les habitations. Problème, les riverains n’ont pas été consultés. Pire, il s’agit d’une antenne 6G. Et les personnes craignent les ondes.
C’est une bien mauvaise surprise qui est rapidement sortie de terre à Cheadle, commune de Manchester. Un étonnant poteau de 15 mètres de haut apparu du jour au lendemain qui a laissé pantois les habitants de la Lymm Walk. « J’étais absent pendant quelques jours et quand je suis revenu », explique Ryan au Sun. « Dès que j’ai tourné au coin de la rue, je l’ai vu… C’est une horreur. Vous pouvez également le voir depuis la fenêtre de mon salon. »
Ce poteau a été érigé par une entreprise de télécommunications, IX Wireless. Celle-ci est censée fournir l’Internet 6G et ainsi offrir une connexion ultra-rapide à des prix inférieurs que ceux proposés par les autres firmes présentes en Grande-Bretagne. Cela inquiète d’autant plus les riverains. « J’ai un jeune fils, je m’inquiète des radiations qui s’en dégagent. Sa chambre est à l’avant, je pense que le poteau est trop proche des propriétés pour être honnête avec vous », ajoute Ryan. D’autres parents partagent les mêmes craintes. « J’ai deux enfants, ils jouaient toujours ici. Ils ont peur désormais ».
Du côté de la commune, on s’étonne de l’installation du poteau. « Nous sommes au courant de l’installation de cette antenne d’une hauteur supposée de 15 mètres. Pour éviter tout doute, cette installation n’a pas été évaluée dans ce cadre et le poteau a été installé sans notification préalable. » Il a donc été demandé à l’entreprise d’apporter des éclaircissements dans les sept prochains jours.