Dans quelques autres pays de l’union européenne

Les programmes de compteurs communicants

Parmi les 23 pays de l’Union européenne ayant pris une décision sur le déploiement des compteurs communicants, huit ont prévu de ne pas les déployer ou de ne le faire que pour certains consommateurs : l’Allemagne, la Lettonie, la Slovaquie, la Belgique, la Lituanie, le Portugal, la République tchèque et la Slovaquie.

L’Italie, avec la suède, est le précurseur des compteurs communicants, puisque leur déploiement, débuté en 2003, a été achevé en 2011. L’objectif principal du dispositif italien est la réduction des fraudes. Les technologies mises en œuvre sont les mêmes que celle d’Enedis, à la différence près que la liaison entre les concentrateurs et le système central se fait par réseau téléphonique fixe. L’équilibre économique du projet, qui représente un investissement de 2,1 Md€, est particulièrement bon puisque Enel, le principal l’avait rentabilisé dès 2011.

En Allemagne, l’étude technico-économique en 2013 a conclu que le scénario visant un objectif de 80% de compteurs en 2020 n’était pas équilibré économiquement pour l’ensemble des consommateurs. Ainsi, l’Allemagne a décidé de ne déployer des compteurs communicants que chez les consommateurs pour lesquels cela se justifie particulièrement (30% des consommateurs) : dans les nouveaux bâtiments ou les bâtiments rénovés, pour les usagers consommant plus de 6 000 kWh par an et les consommateurs qui sont aussi producteurs avec les énergies renouvelables ? Il faut cependant noter que la situation est différente de celle de la France car la distribution est géré par 900 opérateurs, rendant difficilement envisageable une mutualisation.

Extraits du gros document de la Cour des comptes

http://sedi.fr/wp-content/uploads/Le-rapport-public-ann

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Un document réalisé en Belgique

Contre le décret wallon et l’ordonnance bruxelloise du déploiement des
compteurs communicants dit « intelligents »

http://findunucleaire.be/html/compteur-espion.htm