Corona et rayonnements radiofréquences

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Cela concerne  les expositions aux rayonnements radiofréquences provenant des communications sans fil, y compris la 5G

Ce qui suit est un complément d’informations à l’article paru le 13 décembre

Résumé
Contexte et objectif
La politique de santé publique de la maladie à coronavirus (COVID-19) s’est concentrée sur le virus du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés.
En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques.
Le SRAS-CoV-2, le virus à l’origine de la pandémie de COVID-19, a fait surface à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en œuvre à l’échelle de la ville (cinquième génération [5G] de rayonnement de communication sans fil [WCR]), et s’est rapidement propagé à l’échelle mondiale, initialement démontrant une corrélation statistique avec les communautés internationales avec les réseaux 5G récemment établis.
Dans cette étude, nous avons examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes de la WCR et identifié plusieurs mécanismes par lesquels la WCR peut avoir contribué à la pandémie de COVID-19 en tant que cofacteur environnemental toxique.

En franchissant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la physiopathologie, nous présentons des preuves que la WCR peut :

(1) provoquer des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à  l’hypercoagulation ;

(2) altérer la microcirculation et réduire les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine, exacerbant l’hypoxie ;

(3) amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ;

(4) augmenter le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres entraînant des lésions vasculaires et des dommages aux organes ;

(5) augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération virales, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ;

(6) aggraver les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

Pertinence pour les patients
En bref, le WCR est devenu un facteur de stress environnemental omniprésent qui, selon nous, pourrait avoir contribué aux effets néfastes sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et augmenté la gravité de la pandémie de COVID-19. Par conséquent, nous recommandons à toutes les personnes, en  particulier celles souffrant d’une infection par le SRAS-CoV-2, de réduire leur exposition au WCR autant que raisonnablement possible jusqu’à ce que des recherches supplémentaires clarifient mieux les effets systémiques sur la santé
associés à l’exposition chronique au WCR.

Pour lire le document complet :

https://www.profession-gendarme.com/preuve-dun-lien