Victoire triomphale contre ces voitures polluantes de M. Bolloré (BlueCub / BlueLy / Autolib)
Après plusieurs années de combat acharné
cf reportages TV par exemple à Bordeaux
ou à Paris
l’Observatoire du nucléaire a le plaisir de constater sa victoire absolue et définitive sur les voitures électriques polluantes de M. Bolloré, à savoir les Autolib (Paris, arrêtées depuis 2018), les Bluely (Métropole lyonnaise) et les BlueCub (Métropole bordelaise) qui mettront enfin la clé sous la porte le 31 août 2020 (https://cutt.ly/dfsPUZa).
.
Les flamboyantes campagnes de débranchage de ces voitures, reprises par des nombreux citoyens anonymes, ont sapé le modèle économique de ces projets qui, de toute façon, n’était basé que sur l’occupation quasi gratuite du domaine public et les subventions accordées lâchement par des édiles – dont M. Juppé – incapables de résister au lobbying de M. Bolloré.
.
Il est d’ailleurs regrettable que la plainte déposée par Bolloré, qui a donné lieu à l’audition par les gendarmes du directeur de l’Observatoire du nucléaire le 21 novembre 2014, ait ensuite été lâchement retirée par l’industriel, privant ainsi l’opinion publique d’un débat fort intéressant à propos de l’activité citoyenne consistant à débrancher les voitures électriques en charge sur la voie publique.
.
Pour mémoire, l’Observatoire du nucléaire avait déjà infligé une cuisante défaite à Bolloré et à tous les autres constructeurs de voitures électriques en les contraignant à retirer de leurs propagandes respectives les mentions « écolo », « verte » ou « propre » (cf Le Monde,
En effet, contrairement à ce qui est prétendu ici où là, la voiture électrique est tout autant une calamité environnementale que la voiture thermique. Il est de fait totalement injustifiable de consacrer des quantités astronomiques d’argent public pour remplacer des voitures polluantes (essence ou diesel) par… d’autres voitures polluantes (électriques). Cf à ce sujet cette tribune dans Le Monde :
Après la ville de Blaye
Alain Juppé
Areva
qui a ensuite fait faillite,
UFC-QueChoisir
et bien d’autres (*), Bolloré vient d’apprendre ce qu’il en coûte de défier l’Observatoire du nucléaire et son valeureux président, qu’il s’agisse d’énergie ou de questions sociales (sujets finalement très liés).
Comme le chantait si bien Queen
« Another one bites the dust » : « Encore un qui mord la poussière ». Au suivant (**) !
.
*******************************
.
(*) On regrettera toutefois qu’EDF, les Renseignements généraux et l’officine suisse Securewyse, qui se sont ligués pour espionner Stéphane Lhomme, courent toujours :
http://edf.espionnage.free.fr
.
(**) Probablement Enedis qui attaque fort imprudemment Stéphane Lhomme en justice le 3 décembre 2020 à Paris à propos des incendies causés par les compteurs malfaisants Linky.
observatoire-du-nucleaire.org