L’ANFR concède et confirme qu’Enedis a menti à la Terre entière – et à l’Etat français lui-même : la preuve en vidéo !
Courrier de la honte n°1 : Joyeux Noël à l’Anses !
Quand l’Anses s’emploie à étouffer le Linkygate…
envoyé : 20 juin 2023 à 16:47 de : Saisine DAJ <saisine-daj@anses.fr> à : gouesbet cc : Saisine DAJ <saisine-daj@anses.fr> objet : RE: Affaire de M Gouesbet // SIGNALE
Bonjour Monsieur,
Nous avons reçu de votre part de nombreux courriels, d’intitulés variés (« le silence des autorités sanitaires », « post-scriptum pour la vérité sur Linky », « désinformation institutionnelle », « nocivité des ondes »…) traitant de l’électrosensibilité et de la carence présumée de l’Anses à ce sujet. Vous avez également sollicité diverses autorités, dont le Défenseur des Droits, de ces mêmes sujets.
Vous faites notamment part, dans vos courriels, de votre insatisfaction au sujet de la seconde actualisation de l’avis de l’Anses relatif à l’exposition de la population aux champs électromagnétiques émis par les « compteurs communicants ». Cet avis a été rendu public le 11 mai : il est pleinement accessible sur le site de l’Agence au lien suivant Compteurs Linky nouvelle génération : un faible niveau d’exposition aux ondes | Anses – Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail.
Celui-ci fournit en toute transparence les conclusions actualisées des experts après intégration de nouvelles données disponibles, notamment celles recueillies à la demande de l’Anses par le CSTB relatives aux compteurs de nouvelle génération. Comme tous les avis de l’Anses, il a été établi selon un processus rigoureux d’expertise collective, mené selon les principes fondamentaux de l’expertise, dont celui d’une analyse rigoureuse des liens d’intérêts afin de garantir l’absence de risques de conflits. L’agence a bien noté votre désaccord quant aux conclusions de cet avis.
S’agissant de la question de l’existence de situations individuelles qu’il est nécessaire de prendre en charge, pour des personnes se déclarant EHS (électrohypersensibles), l’Anses a mentionné cet enjeu dès son avis de 2018 sur le sujet, avis dans lequel elle soulignait toutefois l’absence de lien scientifiquement établi. L’agence mène et soutient par ailleurs des travaux d’études et recherche pour faire progresser les connaissances à ce sujet.
Dès lors, au vu de ce qui précède, nous considérons avoir répondu à l’ensemble des demandes adressées par vos soins à l’Agence.
Par ailleurs, nous vous demandons expressément de bien vouloir mesurer vos propos concernant M. Olivier Merckel, agent de l’Anses, dont l’honneur et la considération ne sauraient souffrir les accusations que vous faites porter sur lui et dont l’agence ne saurait accepter la mise en cause, a fortiori lors d’échanges impliquant des tiers.
Nous vous prions, Monsieur, de recevoir l’expression de notre considération distinguée.
Bérénice Renard ; Déontologue ; Directrice des affaires juridiques
AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE de l’alimentation, de l’environnement et du travail
14 rue Pierre et Marie Curie 94701 Maisons-Alfort Cedex
www.anses.fr — @Anses_fr
De : Gouesbet Envoyé : jeudi 15 juin 2023 16:06 À : VALLET Benoit
Bonjour Professeur VALLET,
Je me permets de vous solliciter directement souhaitant savoir si vous accepteriez d’échanger avec moi sur la problématique Linky. Ce pourrait être la semaine prochaine au moment qui vous conviendrait.
Par le passé, j’ai proposé à plusieurs reprises un tel échange à M. Olivier MERCKEL qui a la charge de ce genre de problématique (à titre d’exemple, cf. le mail transféré émanant , vous le noterez, de l’ARS/CVL). Mais il n’y a eu de sa part aucun retour favorable à ces sollicitations. C’est particulièrement regrettable étant donné la masse d’informations considérable que j’ai pu lui transmettre depuis plus de deux ans sur le sujet, avec presqu’aucun retour de sa part. Aucune des informations transmises n’apparaît d’ailleurs dans le dernier avis rendu par l’Anses, alors même que j’avais insisté auprès de M. MERCKEL pour qu’elles soient portées à la connaissance du CES travaillant sur le sujet du Linky.
Je vous ai déjà fait part de ma position sur l’avis rendu le 11 mai dernier par l’Anses : cet avis est des plus critiquables. Il rend des conclusions qui sont à rebours même de très nombreuses constatations qui ont été effectuées dans le cadre des études diligentées par les agences : il y a eu d’évidentes fraudes métrologiques de commises (notamment par l’ANFr), mais il n’est même pas besoin de les mentionner pour démontrer l’existence d’un hiatus flagrant entre les conclusions rendues par l’Anses et un certain nombre de constatations sur lesquelles ces conclusions prétendent pouvoir pourtant s’appuyer. J’ai eu l’occasion d’avoir récemment un échange approfondi avec la DGS sur ce sujet : mon interlocutrice n’a pu que convenir avec moi qu’ « il y (avait) pas mal de trous dans la raquette »
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:
… Je vais pour ma part plus loin encore : j’accuse M. MERCKEL d’avoir construit volontairement sur le sujet un discours extrêmement tendancieux, orienté et partial, bien plus idéologique que scientifique. Je ne donnerai ici qu’un exemple de ce manquement à l’objectivité scientifique. Lorsque l’avis constate, à la p.15, qu’il y a un facteur 20 entre les valeurs limites (dont je rappelle au passage qu’elles reposent sur la seule prise en compte des effets thermiques, ignorant tous les autres), et les niveaux de champ magnétique (H) émis par un compteur Linky (constatations faites à partir d’une mesure Linky extraite de l’étude de l’ANFr de mai 2020 ayant relevé à 20 cm et dans la bande CPL un niveau de champ magnétique pour le Linky de 0.27 microteslas), il déclare, à la p.23, que les niveaux mesurés sont « très inférieurs aux valeurs limites » ; dans le même temps, le même avis, permettant de constater qu’il y a un facteur 100 entre le niveau de champ H émis par un compteur Linky in situ et, par exemple, une lampe LFC (respectivement mesures de 0.04 et de 0.0004 microteslas, mesure Ineris pour la première et ANFr pour la seconde), ose déclarer que « les compteurs Linky (…) sont à l’origine d’une exposition comparable à celle d’autres équipements électriques (domestiques). » Si les mots ont un sens, « comparable » devrait signifier « appartenant au même ordre de grandeur » – or, en l’espèce, il y a deux ordres de grandeur de différence, même trois si on prend comme référence la mesure à 0.27 microteslas ! Bref, c’est un avis qui, de façon tout à fait évidente, ne fait que développer un discours métrologique à géométrie variable, et donc au final mensonger. Cet exemple d’imposture métrologique que je viens de proposer est seulement un exemple parmi beaucoup d’autres qui montre le peu de crédit qu’il y a lieu d’apporter aux conclusions du nouvel avis révisé de l’Anses.
Un dernier point: en 2016, l’Anses pouvait évoquer des « incertitudes sanitaires », et évoquer une « faible probabilité » d’effets sanitaires… Ce genre de discours présuppose, notons-le au passage qu’il faut bien admettre l’existence d’autres effets sanitaires que ceux pris exclusivement en compte par les normes d’exposition de 2002, à savoir les effets thermiques… Mais, aujourd’hui, certains de vos compatriotes, toujours plus nombreux, pâtissent de leur exposition aux émissions électromagnétique du système Linky – j’en fais partie (Linky m’a même rendu mon propre lieu d’habitation inhabitable !). La probabilité d’effets sanitaires n’est donc ni nulle (discours d’Enedis), ni (très) faible, elle est de 1 : le risque d’effets sanitaires autres que thermiques est réel, certain et avéré. Aujourd’hui, en France, on tombe malade à cause de Linky. Et, à cet égard, c’est de la responsabilité des autorités sanitaires de tirer la sonnette d’alarme – d’urgence !
Monsieur le Professeur VALLET, j’espère vraiment pouvoir vous compter au nombre de ceux qui sont en quête de vérité sur le sujet du Linky, et non au nombre des mystificateurs.
Je vous remercie d’avance pour votre retour,
envoyé : 24 juin 2022 à 15:47 de : « LETORT, Rodrigue (ARS-CVL) » à : MERCKEL Olivier cc : Gouesbet objet : Affaire de M Gouesbet
Bonjour Olivier,
M Gouesbet souhaiterait pouvoir s’entretenir avec nous dans la cadre d’une réunion téléphonique, pour échanger sur son dossier, notamment ses constats sur la nature des trames Linky, qui parcourent le réseau électrique de son domicile et une partie du réseau électrique de la commune de Neuillay-les-Bois.
J’ai prévu un créneau de 30 à 45 minutes mardi prochain à 14h00. Serais-tu disponible sur cette tranche ?
Merci par avance, Cordialement,
Rodrigue LETORT Ingénieur du génie sanitaire
Adjoint au Directeur Départemental Responsable du Département Santé Environnement et Déterminants de Santé Direction Départementale de l’Indre
ARS Centre-Val de Loire Cité Coligny – 131 rue du faubourg Bannier – BP 74409 – 45044 Orléans Cedex 1
Publié par Ludovic Gouesbet
Enseignant du secondaire (philosophie) au sein de l’Education nationale
LINKYLEAKS / LINKYGATE
« Dire la vérité est un crime.
L’électrocriminalité est un service public »
BIG LINKY
George ORWELL, au secours !
Tous les articles sur le Linkygate : https://lnkd.in/ew3p3nVR
Toutes les vidéos sur le Linkygate : https://lnkd.in/eR8wumY7
https://blogs.mediapart.fr/ludovicgouesbet/blog/280324/c
** **
ECHANGE DU 01/10/21 AVEC MME EMMANUELLE CONIL (EXPERTE A L’ANFR) SUR LA PROBLEMATIQUE LINKY (PART ONE). Le document, dans sa version complète (3 parties en cours de publication), est totalement inédit – publication Linkedin :
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7179
-> L’agence prétend en revanche que, grâce à ses mesures, « l’information fiable (serait) disponible » et confirme l’existence au mois d’avril 2016 de “mesures communes” avec l’INERIS.
Mesures fiables… Vraiment ?
Courrier de la honte n°1 : voir ci-dessus
Courrier de la honte n°2 : voir mon mail du 11 mars 2024 ou
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:
Et aussi
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:
envoyé : 21 juin 2023 à 11:26
Bonjour,
Je me réjouis beaucoup de constater que l’Anses a les moyens d’ériger des « digues » juridiques en face d’un tsunami de vérités comme celui que je suis en train de provoquer ; car cela signifie aussi que l’Anses devrait aussi avoir les moyens de faire de même avec le tsunami de mensonges que la société Enedis a déversé sur les divers organismes d’Etat suivants : les ARS, la DGS, l’Anses elle-même (autant que je sache)… Il existe un document officiel soi-disant d’information, en réalité de pure désinformation institutionnelle, en l’espèce un diaporama (voir PJ), que la société Enedis a diffusé au mois de novembre 2015 auprès des organismes précités, à la veille du déploiement des compteurs Linky. L’analyse précise de ce document ne peut laisser aucune place au doute sur le fait que la société Enedis peut être convaincue de tromperie et de mensonge à l’adresse de l’Etat lui-même : je vous invite à prendre connaissance du texte d’analyse manuscrit accompagnant ce document (à l’époque de sa rédaction, il y a tout juste deux ans, mon niveau d’électrosensibilité était tel qu’il m’était impossible d’avoir une quelconque vie numérique, c’est mon épouse qui tapait mes mails ; vous noterez, au passage, que M. MERCKEL a été lui-même destinataire de ce document !).
Pour revenir brièvement sur mon précédent envoi, et au risque de me répéter, je souhaite insister, une fois de plus, sur le fait qu’il est tout simplement faux de prétendre, comme le fait, l’Anses, que « les niveaux d’exposition [liés aux compteurs Linky] » seraient « comparables à ceux émis par les dispositifs électriques et électroniques domestiques (lampes fluo-compactes, chargeurs d’appareils multimédia, écrans, tables à induction, etc.) (cf., par ex., p.23 du dernier avis). Il suffit de se reporter à la figure 4 p.11 (voir PJ), pour être pleinement convaincu du contraire : à 30 cm, sur la bande 30-95 kHz, entre le niveau de champ magnétique (H) du compteur Linky in situ (0.04 microteslas / µT) et celui d’un compteur ancienne génération (0.0002 µt), il y a un facteur 200 ; un facteur 100, si la comparaison se fait avec une lampe LFC (0.0004 µT), dispositif d’éclairage interdit à la vente en 2020 (Enedis ment tout simplement, et une fois de plus, en déclarant qu’une lampe LFC émet plus d’ondes qu’un compteur Linky : voir capture d’écran) ; un facteur 60 avec le chargeur PC ; un facteur 13 avec l’écran TV ou un facteur 10 avec la prise babyphone CPL (il y a toujours un ordre de grandeur de différence !) ; un facteur 8 avec la perceuse électrique (mais l’usage de cette dernière est ponctuelle, alors que le CPL Linky engendre une exposition chronique et ubiquitaire) ; seulement un facteur 2 avec l’écran cathodique (mais ce type d’équipement nécessite l’observation de distances de sécurité significatives de plusieurs dizaines de centimètres et fait partie des premiers équipements domestiques à avoir été incriminés dans l’apparition de troubles de type EHS ; cf. notamment p.17 du rapport sur l’EHS de 2018) ; seule la table à induction, appareil jugé du reste très problématique par un certain nombre de médecins, entraîne un niveau d’exposition supérieur, mais du même ordre de grandeur que Linky si on retient comme mesure de référence une de celles données par l’ANFR comme 0.27 µT à 20 cm (cf. p.15 de l’avis).
Que l’on ne dise pas par ailleurs que les avis rendus sont « indépendants » : sur 7 « experts », il y avait pour l’avis rendu en 2017 deux sociologues, travaillant pour des organismes dépendant des « télécommunications », et d’autres experts étaient liés à des organismes ayant participé eux-mêmes aux études réalisées (ce qui s’appelle être juge et partie), certaines comportant d’ailleurs d’évidentes données frauduleuses, comme j’en ai apporté la preuve à l’Anses . En outre, par le passé, plusieurs « experts » ayant eu l’occasion de collaborer avec l’Anses ont publiquement défendu des positions électro-sceptiques ou électro-dénialistes ! Où est, dans ce cas, l’impartialité scientifique que l’on serait en droit d’attendre ?
Mais j’en termine : l’attitude consistant à ignorer délibérément des alertes répétées, informées, scientifiquement et médicalement étayées, plutôt qu’à prendre celles-ci au sérieux et à les traiter, est une attitude que je crois irresponsable et gravement fautive. Je crains, pour ma part, que des problèmes sanitaires d’une certaine ampleur en lien avec l’exposition engendrée par le système Linky ne finissent par apparaître : ne pas perdre de vue que Linky, ce n’est pas seulement 35 millions de compteurs, c’est aussi 770 000 concentrateurs (données Enedis de 2020) et autant de réseaux CPL qui se comportent comme des super stations radio-émettrices ! Donc, j’irai plus loin, je pense même la survenue de tels problèmes sanitaires est inévitable !
Il est encore temps pour l’Anses de « choisir son camp » : celui de la vérité et de la raison, ou celui de la tromperie et de l’imprudence. Je pense qu’un juge administratif comprendrait difficilement qu’une autorité sanitaire, comme l’Anses, ait pris le parti de combattre la vérité et de soutenir le mensonge. Mon devoir de citoyen était d’alerter les autorités compétentes : je crois avoir fait amplement le nécessaire. Ce message est donc tout simplement le dernier que vous recevrez de moi. Libre à vous, si vous le souhaitez, de revenir vers moi.
Bien respectueusement, Ludovic GOUESBET
** **
« Nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir. » Alexandre SOLJENITSYNE
« En temps de guerre, LES ATTAQUES CONTRE LA VERITE commencent bien avant le début du conflit et se poursuivent bien après. » Julian ASSANGE
Bien avoir à l’esprit que la manipulation et la tromperie, a fortiori quand elles sont institutionnelles, se font :
a) au détriment de ceux qui en sont victimes (en l’espèce le public),
b) au détriment du bien commun,
c) qu’elles sapent la confiance nécessaire des citoyens envers les institutions,
d) enfin qu’elles minent l’ordre social.