Uniquement dans le domaine relatif aux compteurs communicants !
Macron, homme de paille, est le pilier du déploiement de la 5G en France, toutes ses actions, loi ELAN incluse vont dans ce sens, mais je rajouterais au risque de vous surprendre, que cet individu est dangereux pour la démocratie, le fait qu’il ne cesse de retirer par des lois d’exceptions tous les pouvoirs aux Maires, aux ABF, etc … Et qu’il spolie les citoyens par l’accaparation de leurs biens fonciers (colonnes montantes) pour les donner aux actionnaires de la SA ENEDIS, bientôt privatisée nous rappelle les sombres jours de l’occupation nazi par rapport à la spoliation des biens des Juifs.
Cette spoliation est un première depuis la révolution et le Membres du Conseil Constitutionnel laissent faire, c’est scandaleux.
Nous avons tous le devoir de dénoncer les agissements de cet individu qui donne tous les pouvoirs financiers de la nation à une oligarchie, le constat de la réalité :
5G Macron Nokia Alcatel-Lucent : Immixtion et Scandale
Linky : L’énergie, le plus gros chiffre d’affaire de la nation française est actuellement en phase d’être totalement accaparé par l’élite (vous devez recevoir actuellement des lettres du Ministère et des opérateurs privés sur la fin des tarifs réglementés) qui a porté au pouvoir Macron, mais peut-être que tout cela va mal se finir …
Il faut que tous les articles de loi votés par les AMB (A Ma Botte) qui sont anticonstitutionnels, anti-démocratie et spoliateurs de la loi ELAN soient retirés (abrogés) ; nous allons le dénoncer haut et fort.
Sachez aussi que nous n’avons pas peur, en réalité ce sont eux qui ont peur de nous car la vérité c’est nous !
Next-up
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EDF menacé d’être transformé en «bad bank» du nucléaire
Pour rappel : sur mediapart, un article de Martine Orange qui date du 16 mai 2019
Ce que fait et va faire MACron
Renouvelé à la présidence d’EDF, Jean-Bernard Lévy a pour mission d’engager la « grande transformation » du groupe, telle que la souhaite l’Élysée. À l’avenir, EDF ne serait qu’un producteur public d’électricité nucléaire. Syndicats, experts, cadres de l’entreprise dénoncent ce « Meccano » sans sens industriel, mettant en péril l’ensemble du système électrique et les finances publiques.
Cela n’a été qu’une simple formalité. Jean-Bernard Lévy a été reconduit à la présidence d’EDF lors de l’assemblée générale du groupe le 16 mai. Une première depuis fort longtemps. Aucun président d’EDF n’a vu son mandat renouvelé depuis 1987. Jean-Bernard Lévy, lui, est parvenu à échapper à la sanction. Dès février, il a été reconduit par le gouvernement.
Emmanuel Macron, qui l’avait fait nommer à la tête d’EDF lorsqu’il était ministre de l’économie, l’apprécie : Jean-Bernard Lévy est parvenu à exercer son premier mandat, sans faire de vagues, en parfait exécutant des vues élyséennes, après être parvenu à neutraliser Nicolas Hulot. En interne, cette reconduction « par défaut », selon de nombreux observateurs a été prise avec résignation et philosophie. « Au moins, on ne va pas passer à nouveau deux ans à expliquer ce qu’est EDF », constate un cadre.
Jean-Bernard Lévy risque cependant d’avoir un deuxième mandat beaucoup plus compliqué, même si sa feuille de route a été très allégée. Plus question de « participer à la transition énergétique, d’anticiper les mutations à long terme, de montrer l’exemplarité du groupe en matière d’animation des filières industrielles ; d’être un acteur emblématique du service public », comme le gouvernement précédent le lui avait demandé, lors de sa nomination en 2014.
Le président d’EDF n’a plus qu’une mission, comme le lui a indiqué le gouvernement dès février : préparer une évolution de l’organisation de l’entreprise pour assurer la pérennité et le développement du nucléaire.
Ainsi se confirment nombre de rumeurs, les propos esquissés par Emmanuel Macron et les appréhensions de Nicolas Hulot lors de sa démission en fin août 2018. La transition et la sécurité énergétique, les enjeux climatiques, le service public de l’énergie, tout cela n’est que secondaire. Pour l’Élysée, EDF, c’est le nucléaire, point.
« Emmanuel Macron ne croit pas aux énergies renouvelables. Pour lui, la réponse au réchauffement du climat, la transition énergétique, passe par le nucléaire », confirme un proche du dossier. Mais un nucléaire à la main de l’État, faisant assumer toutes les charges et tous les risques au public et aux consommateurs, en masquant les échecs, les impasses et le coût véritable.
Dès sa reconduction, Jean-Bernard Lévy est prié de s’attaquer au plus vite à cette « grande transformation ». Le lancement officiel de ce projet, nommé Hercule, devait être officialisé lors d’un comité stratégique le 28 mai. Après les élections européennes.
Mais à la grande fureur de l’Élysée, les grandes lignes du projet ont été révélées par le Parisien avant. L’État projette de renationaliser EDF – il détient actuellement 83,67 % du capital – et de scinder le groupe entre la production nucléaire d’un côté et toutes les autres activités de l’autre.
La seule solution, selon le gouvernement, pour permettre à EDF, déjà très endetté, de faire face au mur d’investissements qu’il doit affronter dans les années à venir pour maintenir et développer son parc nucléaire. Normalement, la direction d’EDF a jusqu’en décembre pour présenter son projet. Dans les faits, il est déjà bien avancé. Depuis plusieurs mois, l’Agence de Participations de l’État (APE) et la direction d’EDF travaillent à la demande de l’Élysée à ce projet. Aidés par des banques-conseils, dont UBS, ODDO, J.P. Morgan ou Natixis, ils ont conçu un schéma qui ressemble très fort aux idées qui trottaient dans la tête d’Emmanuel Macron quand il était ministre de l’économie.
Celui-ci estimait alors qu’il fallait revoir le statut et l’organisation d’EDF. « Autant le statut de société cotée est une solution pertinente pour se diversifier ou développer le nucléaire à l’international, autant il ne me semble pas optimal pour ce qui concerne le nucléaire en France, compte tenu des contraintes de production, du parc installé, de la régulation. (…) Il serait extrêmement difficile, toutefois, de sortir de ce statut de société cotée. Il faudrait soit trouver énormément d’argent pour racheter toutes les actions, soit rompre le lien entre les activités dans le domaine du nucléaire en France et le reste du groupe », affirmait alors Emmanuel Macron devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale le 22 mars 2016, en soulignant que si cette solution était choisie, elle « impliquerait donc un démantèlement du groupe ».
Heureux hasard ! L’APE et la direction d’EDF aboutissent au même plan que celui défendu par Emmanuel Macron lorsqu’il était à Bercy. C’est bien un schéma de démantèlement que le gouvernement est en train de concocter pour EDF.
Afin de pouvoir renationaliser le nucléaire, EDF serait découpé en plusieurs morceaux. D’un côté, une structure serait créée, qui détiendrait 100 % du parc nucléaire, les principaux barrages hydrauliques (la liste ne semble pas arrêtée), ainsi que les centrales thermiques d’appoint. En gros, tous les moyens de production d’EDF. Cette structure serait totalement détenue par l’État.
De l’autre, toutes les autres activités d’EDF en aval, comme la distribution (Enedis – ex-ERDF), les énergies renouvelables (EDF EN), les services (Dalkia) seraient placées dans une autre structure dont le capital serait ouvert au privé. Dans quelles proportions ? À ce stade, tout semble encore à calculer.
Car dans un premier temps, cette scission doit permettre de faciliter l’opération de reprise publique du nucléaire. Lors du rachat par l’État, les actionnaires actuels d’EDF, selon les schémas étudiés par les banques-conseils, pourraient soit apporter leurs titres à l’opération et se faire rembourser en numéraire, soit convertir leurs actions du groupe en actions nouvelles de la société regroupant toutes les autres activités du groupe.