La fin de la polémique  sur Linky ?

L’ANFR a tranché … Linky ne présente aucun risque avéré d’exposition aux champs électromagnétiques ! !

Retour sur la polémique

Linky, nouveau compteur électrique communicant de la firme Enedis, doit équiper tous les foyers français d’ici 2021. Le dispositif assure la transmission automatique des informations relatives à la consommation électrique du foyer au distributeur, qui les transmet au fournisseur d’énergie.  Gratuit, intelligent, rapide : sur le papier, ce nouveau compteur a tout pour plaire. Son fonctionnement soulève cependant de nombreuses inquiétudes auprès des usagers et des associations de consommateurs. Les principaux détracteurs pointent notamment du doigt le risque sanitaire relatif aux ondes émises par le compteur qui utilise le CPL (courant porteur en ligne). Une exposition prolongée à ces ondes pourrait avoir des effets dévastateurs sur le long terme, notamment chez les 2% de Français souffrant d’électrosensibilité.

Une étude qui apaise les craintes

Si la justice a déjà donné raison à plusieurs utilisateurs électrosensibles, ERDF a de son côté   affirmé avoir multiplié les tests pour évaluer le risque sanitaire. Le fournisseur d’électricité rappelle notamment que l’émission d’ondes de Linky n’est pas supérieure à celle d’un four à micro-ondes. L’étude de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), publiée mercredi 9 octobre, démontre que le Linky ne représente aucun danger relatif à l’exposition aux ondes. L’établissement public a contrôlé 178 locaux d’habitation et lieux accessibles au public en milieu urbain entre juin et décembre 2018. Selon le rapport, plus de la moitié des lieux présentent une exposition nulle. Dans les lieux restants, le rapport détaille que les différents niveaux mesurés restent « 25 fois et 37 fois inférieurs aux valeurs limites réglementaires ».

Piratage et risque d’incendie ?

Cette étude ne répond cependant pas à toutes les questions de sécurité soulevées par l’installation systématique de Linky. Plusieurs départs de feu ont été rapportés lors du déploiement du dispositif, incendies indirectement liés à l’installation du compteur sur des installations électriques vétustes. Les détracteurs mentionnent également les risques de piratage. Sur son site Internet, Enedis garantit la fiabilité du dispositif, conçu pour détecter les éventuelles fuites sur la ligne et rapporter la moindre anomalie de fonctionnement. Rappelons que l’installation du compteur Linky est obligatoire et doit s’étaler jusqu’en 2021. Le projet de remplacement est encadré par des directives européennes et par contrat avec le fournisseur d’électricité — ce dernier se réservant contractuellement le droit de remplacer les compteurs pour assurer la bonne gestion du réseau.

boursorama

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Commentaire

Comme d’habitude, l’article se termine par une petite critique du Linky … mais « Enedis garantit la fiabilité du dispositif » ! Bien entendu, le compteur est obligatoire !

Par ailleurs, l’ANFR n’a pas tenu compte de la correspondance de PRIARTEM Alsace.

Voici ce que Priartem Alsace avait écrit au président de l’ANFR

Réponse à la consultation publique sur l’évolution des documents de référence de l’ANFR pour la prise en compte de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques en 5G

Préambule :

Je réponds à votre sollicitation auprès des citoyens à formuler leurs remarques, questions et suggestions :

Je vous joins un fichier qui reprend une explication (« de vulgarisation ») afin de préciser mes remarques et ainsi être plus explicite.

Elle n’est pas une étude scientifique en soi mais un rappel des propriétés physiques reconnues universellement (dont on peut admettre sans équivoque leurs effets et conséquences sur la matière et donc sur le vivant), lesquelles s’appliquent également mais surtout au domaine des ondes numériques.

Commentaires sur les dossiers :

J’attends de l’ANFR une argumentation qui expliquerait le fait que des variables engendrant la nocivité ne soient pas prises en compte lors des mesures pour évaluer l’impact sur les processus biochimiques du vivant. Actuellement ces variables sont omises lors des évaluations.

Nous sommes en droit de vous poser la question sur la pertinence des mesures actuelles.

Cette omission a des conséquences sanitaires considérables.

Si cette omission est volontaire, nous pourrions parler d’escroquerie intellectuelle.

Concernant les ondes analogiques, la puissance reçue dépend de l’intensité du rayonnement du CEM de l’émetteur et de la distance auquel se trouve la matière rayonnée par rapport à ce dernier.

Il nous est facile de voir une corrélation entre puissance et exposition,

Une exposition n’a pas systématiquement un caractère de nocivité. Cela dépend des propriétés physiques de l’onde émise.

Nous savons que la puissance a un impact de polarisation sur la matière rayonnée (vivante ou non) qui occasionne une nocivité potentielle.

Il en est de même concernant l’onde porteuse d’une onde numérique.

Cependant vous laissez à penser que les propriétés des ondes numériques sont similaires à celles des ondes analogiques. Et donc que seule la puissance est représentative des dangers.

Pour faire simple, dans le cas d’une onde numérique pulsée, nous avons des informations transmises au moyen d’une codification binaire traduite en pulsations (modulations) greffées sur l’onde porteuse qui fluctuent selon les données transmises par de brusque variations d’intensités (« onde carrées », non sinusoïdales, ou « burst » dit éclatements). Nous savons tous, que de brusques variations d’intensité de CEM (quel que soit la puissance) créent des courants induits ou des charges capacitives qui perturbent les systèmes électriques non protégés. Or tous les vivants sont électro sensibles.

Toutes les matières ont leur propre fréquence dite de résonance.

Ces pulsations fluctuent non seulement en intensité mais également balaient toute une gamme de fréquences qui sont susceptibles de faire entrer en résonnance la matière (quel que soit la puissance) et donc nos organes etc..

Ces pulsations sont la quintessence des ondes numériques.

Ces deux propriétés physiques émises lors de l’émission d’ondes numériques modifient l’état de la matière et déstabilisent les processus biochimiques (et notamment les électrolytes de notre corps).

Ces variables (« la forme temporelle » (Valeur absolue des sommes des pentes de la courbe (dérivé) par unité de temps) engendrant des courants induits et les fréquences de l’onde porteuse ou des pulsations engendrant des phénomènes de résonnances) doivent être modélisées afin d’en tenir compte lors des prises de mesures.

La puissance à elle-seule ne peut pas caractériser, modéliser le risque de nocivité des ondes numériques. Autrement les mesures sont des leurres.

C’est pourquoi, outre la puissance, on peut dire que ces variables sont fortement corrélées au «débit» de données transmises.

Sachant que le débit de données transmises avec la 5G sera 1000 fois plus élevé, nous comprenons facilement le danger encouru par tous les êtres vivants et ceci de manière non souhaitée, ne pouvant s’extraire, forcé à l’encontre des droits de l’homme de manière antidémocratique.

La 5G se déploie et ne fait l’objet d’aucun débat démocratique. Il n’y a aucune étude préalable d’impact sanitaire sur la population qui a été menée. Le respect du code de Nuremberg qui interdit toute expérimentation sur l’homme est bafoué. Nous sommes bien dans ce cas de figure avec des installations sans concertation et sans recul scientifique, alors qu’il y a de nombreuses études qui démontrent les effets biologiques et sanitaires des ondes électromagnétiques.

C’est du devoir de l’ANSES, étant donné sa fonction, de donner un avis indépendant des prérogatives et des conséquences concurrentielles et économiques. Ce qui n’est pas le cas actuellement.

Si elle ne le fait pas, qui le fera ?

Pourtant des milliers d’études sur les effets nocifs des CEM avec preuves incontestables existent. (faut-il les fournir ?). Sans compter les lois universelles des propriétés de la physique telles que les inductions électriques et les fréquences de résonances. Qui croit encore aux balivernes sur la soi-disant non preuve concernant le lien de cause à effet des champs électriques sur le vivant ? En tous les cas, pas les collégiens de France et de Navarre formés à la physique.

C’est du devoir de l’ANFR de revoir sa méthode de mesures en incorporant toutes les variables de nocivité, et également de son devoir de revoir le mode de déploiement des données numériques sur notre territoire afin de préserver la santé de tous. Les solutions existent. Targuez-vous de prendre des solutions et des mesures protectrices vis-à-vis de la population à contrario d’autres pays. Cela donnera une force concurrentielle sanitaire à la France.

L’ARCEP n’est issue d’aucun vote, elle ne représente aucun citoyen et donc n’a aucune représentativité pour imposer ses décisions, à peine les consommateurs, juste les lobbies qui se moquent du devenir des concitoyens

Sachant que ces agences sont sous la responsabilité des ministères et donc du premier Ministre, il est de son devoir de protéger la population française et d’agir vite avant d’être dépassé par la situation. Il fait partie des « sachants ».

Rester dans le déni ou le mensonge par omission ne changera pas la réalité de la nocivité de ces ondes numériques pulsées. Tout scandale finit par éclater et les protagonistes seront jugés. Pour ce faire, toutes les associations enregistrent les faits, les dires et les gestes qui vont à l’encontre de la santé pour constituer un dossier de preuves qui sera présenté à cette occasion à la cour européenne des droits de l’homme et à la cour de justice de Nuremberg.

Combien faudra-t-il de personnes rendues malades pour que le gouvernement réagisse? Déjà 8% de personnes reconnues affectées par les CEM en Suèdes, pays occidental. Pourquoi autant de réfugiés français en errance pour chercher une zone blanche en France. Honte à nos dirigeants !

Pour un moratoire immédiat du déploiement de la 5G en France afin d’établir une stratégie de déploiement de transferts des données numériques protectrice de la population.