Smartcity

Une technolatrie qui nous veut du bien ???

Pour ceux qui ont « apprécié » le documentaire qui fait aimer le « progrès », « ma femme a du crédit »

https://www.youtube.com/watch?v=Jt2HA7jfzj8

– voir notamment l’article paru le 28 avril sur le site du collectif ACCAD –

je conseille vivement l’interview de François JARRIGE sur la SMARTCITY, 

laquelle apporte une analyse très éclairante :

https://www.youtube.com/watch?v=nmxjtmrtAis&t=887s

On y apprend que 75% des SMARTCITY existantes se trouvent en Asie, dont une majorité en Chine, berceau assumé d’une ingénierie sociale décomplexée.

On comprend que cette corrélation n’est pas fortuite.

Pour avoir observé personnellement le conditionnement à la digitalisation généralisée des équipes municipales lors du Salon des Maires 2022 à Paris

https://www.salondesmaires.com/,

on comprend que ce qu’il nous reste de semblant démocratique en France  est gravement menacé par des apprentis sorciers et des idiots utiles.

 Ce qui ne sont pas traités dans cette séquence, déjà bien dense, sont les effets amplifiés des pollutions cocktails augmentées dans ces villes, du fait de tous ces matériels émissifs déployés en leur sein, villes qui n’ont rien d’intelligentes mais tout de totalitaires, de régression sanitaire et de dévastations écosystémiques.

Nous vivons bien une époque de travestissement généralisé où Magritte est célébré au quotidien sans le savoir.

De fait, chaque ajout d’une ligne THT (même souterraine), d’un transformateur, d’un concentrateur Linky, d’une antenne relais, d’un nouveau dispositif électrique dans un environnement urbain déjà bien chargé ne devrait pas être examiné pour lui seul (elle seule), mais au sein d’un écosystème avec lequel des interactions complexes (notamment électromagnétiques) et surtout pathogènes sont à craindre.

Mais parvenir à ce niveau d’analyse supposerait de réfléchir de manière indépendante et de s’instruire sur ces interactions : serait-ce une exigence extravagante ?

La connaissance protège et l’ignorance asservit.

Frederic Furlano ; Robin des Toits