Spéciale PÉTITIONS

Une série d’informations provenant de Robin des Toits

Nous nous permettons de vous solliciter pour apporter votre soutien à trois pétitions.

Deux d’entre elles concernent des implantations d’antenne-relais et la troisième, les signes avant-coureurs d’une probable interdiction des médecines naturelles.

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2 PÉTITIONS contre les Antennes-Relais

Actuellement, nous assistons à un déploiement à marche forcée d’antennes – relais sur tout le territoire avec un impact sanitaire de plus en plus fort et une situation de plus en plus difficile pour les EHS.

Nous vous invitons à soutenir l’action de ceux qui essaient de se faire entendre en signant ces pétitions.

POURQUOI SIGNER CES PÉTITIONS ANTI-5G ?

Pas seulement à cause de la détérioration du paysage, des conséquences sanitaires et de la dévaluation immobilière ; mais parce que la 5G avec son monde est le porte-drapeau d’une civilisation déjà présente de plus en plus numérisée, connectée, liberticide -style 1984-, individualisée, surveillée, robotisée… artificialisée. En bref, ce monde se passera de l’homme qui ne sera pas réceptif à ce soi-disant « progrès ».

On doit sortir de ce monde capitaliste qui ne s’intéresse qu’à la valeur du profit. On ne retient pas beaucoup les leçons de l’histoire : on a pourtant beaucoup à apprendre du monde dit primitif qui se passe de cette folie. On ne peut pas être d’accord avec le président de la république qui se vante d’être anti-amish … alors que certaines valeurs encore présentes chez ce peuple devraient nous faire comprendre que l’on n’a rien à attendre de cette technologie dangereuse non seulement pour la nature mais aussi pour le monde animal et humain.

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Première pétition

Le 12 mai 2023 a été affichée la Déclaration Préalable pour l’édification d’une antenne relais Free. Le site choisi est situé en bordure de chemin sur la commune de Vienne, proche de Pont-Evêque, en haut d’une colline. L’antenne fera 45m de haut, équivalent un immeuble de15 étages, une aubaine pour Free qui se vante de pouvoir rayonner à10km à la ronde.

https://www.change.org/p/antenne-relais-free-45m-la-papett

Le 12 mai 2023 a été affichée la Déclaration Préalable pour l’édification d’une antenne relais Free. Le site choisi est situé en bordure de chemin sur la commune de Vienne, proche de Pont-Evêque, en haut d’une colline. L’antenne fera 45m de haut, équivalent un immeuble de 15 étages, une aubaine pour Free qui se vante de pouvoir rayonner à 10km à la ronde.

Nous, habitants, promeneurs du secteur de la Papette, Montarnaud, Gravier Rouge, Guillemottes et Pont-Evêques demandons la NON CONSTRUCTION de cette antenne relais afin de préserver notre cadre de vie.

A ce jour, rien ne prouve l’utilité d’un tel projet pour les citoyens du secteur et la fibre couvre déjà quasiment tout le territoire. En revanche, il suscite déjà de nombreuses interrogations :

  • Impact visuel sur notre environnement
    Cette antenne relais est une atteinte à l’esthétique environnementale, il est clair qu’une tour de 45m (15 étages aura du mal à se fondre dans le paysage (préconisation du gouvernement).
  • Inutilité de l’équipement pour les riverains
    Les habitants ont déjà accès à un réseau très haut débit et on ne peut pas dire que Vienne et les alentours soient en zone blanche.
  • Absence d’une concertation sincère des citoyennes et citoyens et atteinte aux principes fondamentaux de la République
    Nous comptons sur Monsieur le Maire pour refuser l’implantation de l’antenne relais et obtenir une réunion de concertation publique avec l’opérateur.
  • Sûreté sanitaire INCERTAINE pour l’homme et la faune
    A ce jour aucune enquête ne permet de définir la dangerosité des ondes émises par les antennes relais, mais certaines grosses compagnies d’assurance (AXA, Lloyd’s) refusent de prendre en charge ce type de risques au même titre que l’AMIANTE et le PLOMB (source Médiapart du 21 mai 2021, Antennes relais et 5 G : les maires piégés).
  • Dévalorisation du bien foncier et immobilier
    La présence de l’antenne relais, dévalorise nos biens, maisons d’habitations et terrains jouxtant l’antenne perdant toute potentialité de valorisation, hormis pour la propriétaire du terrain concerné qui se voit recevoir une coquette rente.

La 5G, au cœur de débats, est loin de faire l’unanimité. Quel que soit notre niveau technique ou scientifique, notre devoir de citoyens est de faire preuve de vigilance.
Ces promesses utopiques ne tiennent pas à l’épreuve du réel :

  • La rapidité de téléchargement en mobilité n’est pas une priorité : la rapidité actuelle de transmission suffit largement, et la connexion filaire, bien plus rapide, fiable et stable, permet d’obtenir le débit souhaité sans polluer toute l’atmosphère.
  • L’intelligence artificielle pose énormément de problèmes éthiques et sécuritaires pour l’humanité ; il suffit de penser au concept de villes dites ‘intelligentes’ exporté par la Chine dans le monde entier où l’intelligence artificielle surveille 24h/24 le comportement de tous les citoyens grâce à un réseau de caméras.
  • L’automatisation de l’industrie, c’est bien connu, est l’antichambre du chômage massif.
  • La médecine à distance est un prétexte pour justifier la suppression des petits hôpitaux ; or, c’est, au contraire, une santé de proximité dont nous avons besoin.
  • L’autonomie des véhicules a pour but d’automatiser le transport routier, ce qui causera la perte d’emploi des transporteurs. Pour preuve, le déploiement de la 5G sur les autoroutes est une priorité du gouvernement.
  • La connexion de milliards d’objets, dont poubelles, couches-bébé, brosses à dents, … aura comme conséquence de polluer davantage l’intérieur de l’habitat. 

Les dommages causés par une telle opération seront immédiats.
Collectif la Papette
antennelapapette@gmail.com

La propriétaire du terrain a pu être rencontrée. Elle met en avant qu’il ne faut pas s’opposer au progrès, que le propriétaire voisin a autorisé l’installation d’une antenne en bordure de leur habitation et qu’ils ont contesté à l’époque et que ça s’est fait quand même. Ils ne sont pas sensibles à l’aspect santé, visuel ou autre, « ça pourrait être pire, il pourrait y avoir un lotissement » et bien entendu ils reçoivent une rente annuelle de Free pour une durée de 12 ans renouvelable.

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Deuxième pétition

Nous, habitants de Came, de Bidache, et sympathisants, nous opposons formellement à la construction d’une antenne-relais de 42mètres de haut (équivalent d’un immeuble de 14 étages) dans notre belle campagne du Pays Basque ! Ce projet, porté par l’opérateur SFR, a vu le jour sans qu’aucune réunion publique ou concertation avec les riverains ne soient organisées, et sans qu’aucune étude préalable ne soit réalisée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences).

https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-construction-

Pourquoi cette pétition est importante

Nous, habitant.e.s de Came, de Bidache, et sympathisant.e.s, nous opposons formellement à la construction d’une antenne-relais de 42 mètres de haut (équivalent d’un immeuble de 14 étages) dans notre belle campagne du Pays Basque !

Ce projet, porté par l’opérateur SFR, a vu le jour sans qu’aucune réunion publique ou concertation avec les riverains ne soient organisées, et sans qu’aucune étude préalable ne soit réalisée par l’ANFR (Agence Nationale des Fréquences) : si nous n’agissons pas, un pilonne géant – le modèle d’antenne-relais le plus haut existant – prendra forme d’ici quelques semaines à côté du chemin de Martinhaut, au milieu des collines de Came et de Bidache (64520).

Ce projet met en péril notre espace de vie à différents niveaux : 

1. Un risque fort de détérioration du paysage

L’implantation d’une telle antenne détériorerait clairement la beauté de la campagne alentours, car visible sur plusieurs kilomètres à la ronde (une tour de 14 étages, pour rappel !) : depuis plusieurs quartiers de Came et Bidache, depuis la route de Saint Palais, etc.
Si nous avons choisi de nous installer dans les collines verdoyantes du Pays Basque, c’est pour bénéficier d’un cadre de vie reposant, en pleine nature… certainement pas pour être confrontés à pareille construction.

Pour rappel, notre territoire, et notamment le village de Bidache (lieu classé « Sites et Cités Remarquables ») attire chaque année de nombreux visiteurs. Quel impact anticiper ici sur le rayonnement touristique de la région ?

2. Un risque sanitaire pour les riverains (principe de précaution)

Alors que les rayonnements électromagnétiques au-dessous des limites réglementaires actuellement en vigueur (28 à 61 V/m, selon la fréquence) sont présentés comme inoffensifs, des milliers d‘études scientifiques prouvent le contraire.
L’exposition aux radiations en dessous des limites réglementaires actuellement en vigueur provoque stress oxydatif, ce qui a long terme est cause de maladie. Depuis de nombreuses années, toute une littérature scientifique relayée par des politiques et des journaux de nombreux pays, s’inquiète de la recrudescence de cancers anormalement fréquents, notamment chez les jeunes enfants vivant près de lignes à haute tension ou d’antennes-relais. Aucune autre explication n’a justifié cette dramatique anomalie.

A noter que près de 15 familles seront plus exposées que d’autres, car résidant à moins d’1 km de l’antenne (voire moins de 500 m pour plusieurs d’entre elles).

3. Une fragilisation de l’activité économique de plusieurs professionnels 

Dans le périmètre proche de l’antenne, plusieurs professionnels (tourisme, accueil de public, exploitation agricole… notamment avec un positionnement éco-responsable et tourné vers le vivant) risquent de voir leur activité fortement impactée par la présence d’une telle antenne : la commune n’est-elle pas ici sensée prioriser et préserver avant tout nos métiers et savoir-faire ?

4. Une perte de valeur immobilière majeure

Nos biens immobiliers et fonciers seront dévalués (20% à 30% en moyenne) : la plupart des français ne souhaitent pas vivre à proximité d’une antenne-relais !

Pour toutes ces raisons, nous sollicitons la Mairie de Came afin qu’elle demande expressément à l’opérateur SFR le retrait de son projet (autorisation d’urbanisme et permis de construire – référence DP 64 161 23 B0009).
Nous demandons notamment l’annulation de la décision de non-opposition à déclaration préalable car elle ne tient pas compte des dispositions de l’article R. 111-27 du Code de l’urbanisme, à savoir l’atteinte « au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu’à la conservation des perspectives monumentales ».

A noter que d’autres sites avaient été initialement choisis pour mieux couvrir le bourg de Came, mais qu’ils n’ont pas été validés (refus par les habitants et/ou par la Mairie elle-même, pour cause de pollution visuelle, de confort ou de santé). Il est dès lors assez ironique que cette solution de repli -plus éloignée, et donc nécessitant une antenne de taille démesurée pour couvrir le périmètre-, soit au final sélectionnée, cette fois sans concertation avec les riverains.

Nous appelons donc à la mobilisation de toutes et tous afin de nous opposer à cette implantation : AGISSONS ENSEMBLE !

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PÉTITION sur l’éventualité de l’INTERDICTION DES MÉDECINES NATURELLES

Au cas où vous seriez étonnés que Robin des toits vous invite à signer la pétition ci-dessous, en voici les raisons : les personnes ElectroHypersensibles (EHS) sont concernées.

Dans un environnement quotidien où la pollution multifactorielle est omniprésente, par défaut de volonté politique de la réduire drastiquement, celle-ci fait exploser les maladies dites de « civilisation » ou « maladies longue durée » qui induisent à elles seules 80% de la charge de notre système de Santé, du fait de cette insalubrité organisée. Face à cette situation imposée, la population doit pouvoir consolider sa résilience sanitaire, en complément de l’éviction nécessaire des polluants, par l’usage de techniques de soins ayant démontré objectivement leur pertinence sur les tableaux cliniques en question.

La population EHS, non correctement prise en charge par le système médical conventionnel, parce que ce dernier n’est pas formé à cela, a recours à une combinaison de techniques alternatives qu’elle finance elle-même, du fait de l’absence de reconnaissance de son statut de personne impactée par des Champs ElectroMagnétiques (CEM) artificiels. Par ailleurs, de nombreuses personnes EHS sont également chimicosensibles (MCS) et leurs intolérances les obligent à recourir à des soins non dispensés par la médecine conventionnelle.

Des résultats sont ainsi obtenus malgré une exclusion sociale déjà bien lourde à gérer. Et voilà maintenant un projet d’interdiction déguisée de ces techniques de soin, qui laissent pourtant un espoir concret aux personnes qui souffrent au quotidien de ce syndrome d’intolérance, du fait de l’amélioration induite par les soins alternatifs.

Or, dans son rapport de juin 2023, le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM)demande à mots couverts un « meilleur encadrement des techniques de soins non conventionnelles », et s’arroge le titre de propriété sur le mot « médecine » (art de soigner : qui a prétendu que le soin ne pouvait être que sous la tutelle de l’industrie pharmaco-chimique ?), qui selon lui ne saurait être que conventionnelle. Le CNOM oublie au passage que les approches de soin non conventionnelles ne sont pas responsables de l’effondrement du système de Santé conventionnel, de la déshumanisation de l’approche conventionnelle, du développement de déserts médicaux, ni responsables des maladies iatrogènes avec leur cortège extravagant de victimes (Plus de 500000 morts aux USA dans le scandale des opioïdes depuis 20 ans) et encore moins responsables de la dégradation de l’état sanitaire des populations exposées à un environnement multi-pollué (explosion des cancers, des maladies neurodégénératives et auto-immunes).

Un peu d’histoire

Si le CNOM accordait plus de crédit à Antoine Béchamp (1816-1908), il saurait que le terrain est pourtant décisif pour consolider efficacement la résilience sanitaire des populations, si toutefois cette résilience pouvait être un de ses réels objectifs.

La volonté, même déguisée, d’empêcher l’exercice des techniques médicales naturelles ou traditionnelles (parce que très anciennes et donc pleinement éprouvées), véritable patrimoine de l’humanité, puis aujourd’hui de demander leur interdiction à mots couverts, n’est pas nouvelle : Elle remonte au début du 20ième siècle avec l’avènement de la pétrochimie et la volonté de diversification de celle-ci, puis avec la mise en coupe réglée de la formation du corps médical (voir rapport Flexner 1910) selon une seule approche : celle présentant un optimum lucratif, garantissant la dépendance de la population et donc la pérennité des recettes financières des investisseurs « philanthropes ».

Cette dynamique prédatrice vise à installer et à consacrer le monopole de la pharmacochimie, comme si cette technique avait objectivement démontré son universalité et sa supériorité face aux autres approches, dites naturelles ou non conventionnelles, voire non reconnues. Si tel était le cas, après un siècle de domination dogmatique, nous devrions observer une population dans un état de Santé pétaradant, n’est-ce pas ?

Conclusion

En réalité, toutes les techniques de soin sont complémentaires et devraient être employées, au cas par cas en combinaison ou pas, selon la situation du sujet soigné, en lui laissant le choix de la ou des approches à mettre en œuvre, dans son seul intérêt personnel. Tout ceci en s’assurant de la parfaite compétence du praticien qui intervient et sans oublier que le plus pertinent restera toujours de traiter en profondeur les causes racines (c’est à dire les pollutions multifactorielles) plutôt que de se satisfaire du seul étouffement des symptômes.

Et la garantie de la compétence du praticien est précisément de la responsabilité de l’État régulateur, lequel devrait davantage se préoccuper de la qualité et du sérieux des formations dispensées dans chaque discipline, plutôt que de cultiver des insinuations gratuitement péjoratives et des inversions accusatoires à l’égard de techniques non conventionnelles qui n’ont rien à envier aux techniques du dogme, dites « conventionnelles ».

En effet, dans une caisse à outils, il serait idiot de reprocher au marteau de ne pouvoir assurer les mêmes fonctions qu’un tournevis.

En réalité, chacun est complémentaire de l’autre et contribue, dans son périmètre d’emploi, à l’atteinte de l’objectif commun. Ainsi, une caisse à outils ne contenant que des marteaux constitueraient un équipement très incomplet, donc inefficace et sans intérêt.

Afin de s’opposer à cet empêchement du soin pluridisciplinaire, signons ensemble cette pétition pour préserver les techniques dites « non conventionnelles », véritable alternative fiable à l’arrogance d’un dogme, désormais plus religieux que scientifique.

Pour signer la pétition :

https://www.sauver-la-medecine-naturelle.com/signature