Justice et Linky

Rapport CSTB sur Linky

Convention de Recherche et Développement ANSES CSTB
Évaluation de l’exposition de la population aux champs électromagnétiques émis dans les logements par les compteurs communicants d’électricité Linky

L’organisme certificateur agréé CSTB acronyme de Centre Scientifique et Technique du Bâtiment qui possède l’accréditation COFRAC (COmité FRançais d’ACcréditation) pour son laboratoire du pôle ondes radioélectriques a passé une Convention de Recherche et Développement avec l’ANSES pour un Rapport d’évaluation de l’exposition de la population aux champs électromagnétiques émis dans les logements par les compteurs connectés d’électricité Linky.

► Ce rapport est opposable en Justice, contrairement à de nombreux autres diffusés, voire commandités par la SA ENEDIS.

Dans son rapport le CSTB définit le compteur Linky comme un compteur numérique connecté qui possède une interface CPL (Courant Porteur en Ligne) destinée à émettre des informations et recevoir des ordres du gestionnaire ou des mises à jours transportées par des signaux rayonnants appelés trames en kHz superposés à la fréquence 50 Hz sinusoïdale du courant électrique appelée fondamentale via les concentrateurs
Linky est donc un dispositif assimilable à un objet connecté de transmissions et collecte de données privées en voies montantes et descendantes suivant un bus informatique de liaisons en réseau de plusieurs points de livraisons de consommateurs indépendants entre eux.
Celui-ci pouvant fonctionner de manière indépendante, mais comportant plusieurs canaux, un par abonné/consommateur.
L’architecture du système Linky permet des communications successives et permanentes dites ping-pong par pulses de trames en kHz sur tout le réseau électrique des logements

L’architecture CPL du système Linky comporte en zone urbaine un concentrateur pour chaque grappe de Linky et en zone rurale un concentrateur tous les 300 m environ pour compenser l’affaiblissement du signal en kHz du aux pertes par les rayonnements car les câbles ne sont pas blindés.
Le Rapport du CSTB est sans équivoque Linky ou pas Linky, une nouvelle pollution électromagnétique pulsée en kHz se retrouve dans tous les appartements.

Dans le rapport du CSTB il est écrit : Si la collecte des index des données personnelles stockés a lieu effectivement la nuit entre 00h et 6 heures du matin, par contre les concentrateurs interrogent aussi successivement de façon permanente tous les compteurs Linky de la grappe de quelques dizaines en milieu rural à plusieurs centaines en milieu urbain.
Les compteurs interrogés répondent en transmettant une trame élémentaire très brève de type pulses en fréquences kHz en émissions de signaux cycliques d’une puissance de valeur efficace d’environ 2V RMS pour Root Mean Squares qui correspond à la valeur d’un courant continu qui produirait un échauffement identique dans une résistance.

C’est donc un phénomène radiatif nouveau en mode conduit permanent polluant et inédit appelé LDE acronyme de Linky Dirty Electricity de style ping-pong qui est généré par le système de comptage connecté Linky sur tous les réseaux électriques domestiques, cela peut être vu comme un Bus de communication de tous les objets connectés pour le Big Data.
– A la page 32 du rapport du CSTB il est écrit concernant la pollution radiative dans les logements du système Linky : « Globalement, sur l’ensemble des campagnes de mesures réalisées, les niveaux maximum de champ magnétique générés par les trames de communications Linky sont entre 10 et 250 fois plus élevés que les niveaux de bruit ambiant. »
Nous sommes donc très loin des dires lénifiants des affirmations d’ENEDIS et de l’ANFR qui sont à l’opposé des réalités.

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