Effets des champs électromagnétiques non ionisants sur la flore et la faune

Un document très intéressant en deux parties ; très documenté … très long.

Augmentation des niveaux de CEM ambiants dans l’environnement

Les niveaux ambiants de champs électromagnétiques (CEM) ont fortement augmenté au cours des 80 dernières années, créant une nouvelle exposition énergétique qui n’existait pas auparavant. Les dernières décennies ont vu des augmentations exponentielles dans presque tous les environnements, y compris les zones rurales/éloignées et les régions à basse atmosphère. En raison de physiologies uniques, certaines espèces de flore et de faune sont sensibles aux CEM exogènes d’une manière qui peut dépasser la réactivité humaine. Il existe des données de référence limitées, mais complètes, aux États-Unis depuis les années 1980, auxquelles comparer de nouvelles enquêtes importantes dans différents pays. Cela fournit désormais des données plus larges et plus précises sur les expositions transitoires et chroniques potentielles à la faune et aux habitats. Des effets biologiques ont été largement observés dans tous les taxons et fréquences à des intensités extrêmement faibles comparables aux expositions ambiantes actuelles. De vastes effets sur la faune ont été observés sur l’orientation et la migration, la recherche de nourriture, la reproduction, l’accouplement, la construction de nids et de tanières, l’entretien et la défense du territoire, ainsi que la longévité et la survie. Des effets cytotoxiques et génotoxiques ont été observés. Les problèmes ci-dessus sont explorés en trois parties consécutives : la partie 1 remet en question les capacités actuelles des CEM ambiants à nuire à la faune, avec une plus grande urgence concernant les technologies 5G. La partie 2 explore les champs naturels et artificiels, les mécanismes de magnétoréception animale et les études pertinentes pour tous les règnes de la faune. La partie 3 examine les normes d’exposition actuelles, les lois applicables et les orientations futures. Il est temps de reconnaître les CEM ambiants comme une nouvelle forme de pollution et d’élaborer des règles au sein des organismes de réglementation qui désignent l’air comme « habitat » afin que les CEM puissent être réglementés comme les autres polluants. La perte d’espèces sauvages est souvent invisible et non documentée jusqu’à ce que des points de basculement soient atteints. Des normes d’exposition chronique à long terme à de faibles niveaux de CEM, qui n’existent pas actuellement, devraient être fixées en conséquence pour la faune, et les lois environnementales devraient être strictement appliquées.

PARTIE 1 : DÉFINIR LE PROBLÈME : TECHNOLOGIE ET ​​HAUSSE DES NIVEAUX DE FEM

Introduction : déconnexion environnementale

La partie 1 explore la recherche sur l’augmentation des niveaux ambiants d’EMF, la façon dont les champs sont mesurés, l’utilisation de dispositifs de suivi chez les animaux et ce que les nouvelles technologies comme la 5G ajouteront.

La partie 2 explore les champs géomagnétiques naturels de la Terre et les mécanismes de magnétoréception des espèces non humaines, ainsi que les effets des cytotoxines et des génotoxines des CEM d’origine humaine. Il se concentre sur les physiologies uniques des espèces non humaines, leurs habitats spécifiques et la façon dont l’énergie se déplace à travers différents environnements. La section relie ensuite ce qui a été vu en laboratoire, ainsi que des études sur le terrain, dans toutes les fréquences et taxons biologiques représentatifs aux expositions maintenant observées dans les environnements ambiants.

La partie 3 traite des normes d’exposition gouvernementales et explore les lois existantes déjà en place dans les pays occidentaux, puis indique comment une nouvelle vision de l’aéroécologie et de l’électroécologie peut utiliser ces lois pour éclairer les politiques concernant les impacts des rayonnements non ionisants.

Examiner les études choisies : définir comment l’énergie spatiale de faible niveau peut se traduire par l’absorption de tissus non humains

Comment les normes d’exposition du gouvernement se rapportent à la faune

Utilisons-nous le bon modèle physique dans l’établissement des normes ?

Augmentation des niveaux de fond ambiants

Difficultés d’évaluation des expositions ambiantes

Appareils de dosimétrie personnelle humaine : capter les mesures du champ ambiant

Niveaux mesurés : (pour un tableau des études, voir Partie 1, Supplément 1, « Mesures des champs électromagnétiques environnementaux du monde entier »)

Zones sauvages : antennes relais dans les parcs nationaux ; entraînement militaire sur la péninsule olympique

Entraînement militaire au-dessus de la forêt nationale olympique et du sanctuaire marin national olympique : une étude de cas

Nouvelles technologies : 5G et Internet des objets (IoT)

Utilisation militaire des ondes millimétriques

Ondes millimétriques et effets biologiques

Caractéristiques de signalisation inhabituelles de la 5G : multiéléments, MIMO, précurseurs Sommerfeld et Brillouin

Satellites

Augmentations récentes des satellites

Conclusion

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partie 2 : comment les espèces interagissent avec les CEM naturels et artificiels

Introduction : champs électromagnétiques — naturels et artificiels

Extinctions d’espèces

Sensibilité des espèces aux CEM

Conduction énergétique chez différentes espèces : physiologies et morphologies uniques

Mécanismes de magnétoréception : cellules électroréceptrices, magnétite, paires cryptochromes/radicaux

Autres mécanismes d’importance biologique : ADN – effets directs et indirects
Mécanismes directs : ADN comme antennes fractales, membranes cellulaires, canaux ioniques

Mécanismes indirects : radicaux libres, protéines de stress, résonance, champs géomagnétiques terrestres

Ce que montrent les études

Mammifères

– Rongeurs

– Bovins

– Bovins et RFR

– Bovins et porcs : ELF-EMF, courant électrique vagabond

Aviaire

Insectes et arachnides

– Les mouches des fruits

– Coléoptères

– Fourmis

– Les papillons monarques

– Abeilles, guêpes et autres

– Abeilles : RF-EMF

Milieux aquatiques

Amphibiens : grenouilles, salamandres, reptiles : capacités de régénération

– Magnétoréception d’amphibiens et de reptiles

– Amphibiens : RF-EMF

– Amphibiens, reptiles : ELF-EMF

Poissons, mammifères marins, homards et crabes

– Poissons, homards, crabes : ELF-EMF

– Poisson : RF-EMF

Tortues

– Tortues : RF-EMF

Nématodes et petits biotes

– Nématodes

– Mollusques, amibes, moisissures, algues, protozoaires

– Levures et champignons

– Bactéries

– Virus

Plantes

Conclusion

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