Il s’agit de la 5G
Le temps de « philosopher » est révolu. Nous vivons actuellement et c’est tant mieux, le temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, celui du dévoilement. Dans cette confusion apparente, les masques tombent, la vérité apparait au grand jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient. Il est temps, pour chacun de nous, de contribuer activement au futur de l’humanité.
Par « confort intellectuel », certains d’entre nous s’enfoncent dans leur avilissement et deviennent totalement soumis à ceux qui s’autorisent à manipuler la nature, les animaux et maintenant nos propres gènes. Il est temps de reprendre confiance en l’Être que nous sommes vraiment et d’agir individuellement, pour construire collectivement le merveilleux monde de demain.
L’objectif de ce blog, qui traite de « l’écume des choses », est de vous y aider. Si vous désirez être pleinement acteur de « l’ardente obligation » de changer vraiment ce monde, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour traverser avec profit la période actuelle, ce sera votre manière de m’aider très concrètement, à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.
CE QUE L’ON VOIT
Vous connaissez l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) ? C’est un établissement public à caractère administratif (EPA) placé sous la tutelle des ministères chargés de la Santé, de l’Agriculture, de l’Environnement, du Travail et de la Consommation.
Pour accomplir ses missions, l’Anses dispose d’un réseau de neuf laboratoires de recherche, implantés sur tout le territoire. Ils exercent leurs activités dans trois grands domaines: santé et bien-être des animaux, sécurité sanitaire des aliments (chimie et microbiologie) et santé des végétaux.
Parmi ses attributions, figure l’évaluation des effets sanitaires associés au déploiement de la 5G.
S’agissant d’un sujet sensible, l’Anses a organisé une consultation publique afin d’actualiser le document qu’elle avait publié le 20 avril 2021. Ce sont plus de 200 contributions de la part d’associations, de citoyens et d’industriels qui ont été recueillies.
Le 17 février 2022, le rapport définitif est publié. Ses conclusions … ne sont pas une surprise :
« L’Anses publie ce jour une version actualisée de son expertise sur les effets potentiels de la 5G sur la santé, à la suite de la consultation publique organisée entre avril et juin 2021 sur son premier avis. Les précisions apportées suite à l’analyse des contributions et la prise en compte des mesures d’exposition récentes confortent les conclusions initiales de l’expertise. En l’état des connaissances, l’Agence estime peu probable que le déploiement de la 5G entraine de nouveaux risques pour la santé, comparé aux générations de téléphonie précédentes ».
CE QUE L’ON NE VOIT PAS
Contrairement à la déclaration de « bonnes intentions » de l’Anses, les 200 contributions recueillies ont fait l’objet « d’un tri » ou si vous préférez, d’une « mise à l’écart » des contributions « dérangeantes ». En effet, il suffit de consulter l’avis de l’Anses (20 pages) et de le comparer au rapport d’analyse et de propositions (48 pages) rédigé par cinq associations : Alerte Phonegate, SERA ASEF, CRIIREM, ECERI et Robin des toits.
Le jour de la remise du rapport de l’Anses, ces ONG apprennent un fait curieux :
« lors de la réunion de restitution du rapport définitif, organisée par l’ANSES et le Directeur général du pôle d’expertise scientifique aucun de nos apports n’a été pris en compte par le groupe d’études ».
Considérant que le rapport de l’Anses est « une tromperie sur la consultation publique », elles font une déclaration commune :
« Nos ONG signataires sont scandalisées par un tel procédé arbitraire. Quoi de plus efficace pour écarter toute contradiction mettant en cause les conclusions initiales visant à rassurer la population et les élu(e)s sur les conséquences sanitaires de l’exposition à la 5G.
Par ailleurs, les méthodes de travail utilisées ne respectent pas la rigueur scientifique que l’on est en droit d’exiger d’une agence sanitaire nationale.
Financée par des fonds publics, l’ANSES, en agissant ainsi, trahit sa mission de service public de prévention et de protection de la santé de nos concitoyens ».
Effectivement, nous ne pouvons qu’abonder dans cette protestation en lisant « l’avis de l’Anses » dont voici un extrait :
Question : Le déploiement de la 5G à ces fréquences présente-t-il un risque pour la santé ?
Réponse
« Les résultats des expertises précédentes conduites par l’Anses concernant les effetssanitaires de l’exposition aux radiofréquences (bande 8,3 kHz– 2,5 GHz) sont pertinents pourla 5G déployée dans la bande 700 – 2 100 MHz, bien qu’aucune étude n’a été identifiée par legroupe de travail concernant spécifiquement la fréquence de 700 MHz. Par ailleurs, lesniveaux d’exposition dans l’environnement seront vraisemblablement comparables entre la 5Get les précédentes technologies de téléphonie mobile pour les fréquences de 700 à 2 100 MHz ».
Traduction
La « non-nocivité pour la santé » qui concerne les radiofréquences des téléphones utilisant les protocoles 3G et 4G, « sont pertinents pour la 5G »… bien qu’aucune étude ne vienne étayer cette prise de position !!! Mieux, les niveaux d’exposition « seront vraisemblablement comparables » entre la 5G et les précédentes technologies. Nous sommes dans l’approximation totale. Re !!!
C’est curieux comme cela me rappelle les déclarations « d’efficacité des injections » des laboratoires pharmaceutique, repris par les organismes officiels comme l’ANSM… qui se sont révélées fausses !!! J’ai consacré deux numéros des « Rendez-vous d’Hubert » à l’étude approfondie des effets nocifs des téléphones mobiles et aux manipulation de l’Anses.
CE QUE VOIT ALEX ANDRIN
Ne soyons plus victimes de la publicité.
Qui sous prétexte de fausse modernité,
Et la complicité de très nombreux lobbys,
Néglige les dangers de ces technologies.
C’est à chacun de nous, d’être très vigilant,
Afin de préserver tout ce qui est vivant.
Gardez confiance, je vous aime et vous salue.
Profession gendarme