Il est question d’EHS
Est-ce que vous vous êtes déjà sentis mal après avoir passé un long moment en ligne sur votre téléphone portable, lorsque vous êtes à proximité de votre box Wi-Fi ou encore d’antennes à haute tension ?
Si oui, vous souffrez peut-être d’électro-hypersensibilité : les ondes vous rendent malades.
L’exposition mondiale aux ondes humaines (Wi-Fi, Bluetooth, 5G, électricité, …) a été multipliée par un milliard de milliard (1 000 000 000 000 000 000 x) en seulement un siècle.
C’est le chiffre alarmiste qu’avancent les chercheurs dans Lancet Planetary Health.
Je ne sais pas si ce chiffre est exact, mais une chose est sûre, nous sommes bombardés par des ondes à chaque coin de rue.
En 20 ans, nous assistons à une véritable épidémie d’antennes à ondes ;
Regardez cette carte du monde. Elle montre le nombre d’antennes émettant des ondes créées par l’homme en 2003. (Je précise “créées par l’homme”, car par exemple la lumière naturelle est une onde).
Et voici en 2024
Sur cette carte, la couleur violette représente les ondes les moins concentrées, le jaune, celles qui sont le plus concentrées
Je ne sais pas vous, mais on dirait la diffusion d’un virus !
J’ai peine à croire que cela n’a aucun impact sur nous.
En utilisant des estimations très conservatrices, environ 3 % des personnes exposées aux ondes artificielles développeraient une hypersensibilité.
Cela signifie concrètement que des millions de personnes à travers le monde souffrent aujourd’hui, souvent en silence, dans la culpabilité et l’isolement le plus complet.
Certaines personnes sont si sensibles qu’elles peuvent percevoir physiquement des sources de rayonnement éloignées de plusieurs dizaines ou centaines de mètres.
Malheureusement, aux yeux de la médecine conventionnelle, l’EHS est rarement vue comme une véritable maladie. Pourtant, les chiffres sont là et certains gouvernements ont déjà commencé à indemniser des personnes souffrant d’EHS, à l’image de ce qu’a déjà fait la Suède dès 1995.
En France, une femme souffrant d’EHS a eu gain de cause en 2015 : Marine Richard.
Cette journaliste française est la première personne indemnisée pour EHS
Marine Richard, une ancienne journaliste et dramaturge française, est devenue une figure emblématique de la reconnaissance juridique de l’électro-hypersensibilité (EHS) comme un handicap en France.
Marine Richard a déclaré souffrir d’une intolérance aux ondes électromagnétiques en 2010. Elle se plaignait de migraines horribles, d’engourdissements dans ses membres, d’insomnies et un mal-être général.
Bref, son quotidien était devenu un enfer.
Elle a dû se retirer dans une zone isolée des montagnes de l’Ariège pour limiter son exposition aux ondes. Elle vivait dans des conditions rudimentaires, sans électricité ni routes accessibles, dans une grange rénovée
Elle a dû se retirer dans une zone isolée des montagnes de l’Ariège pour limiter son exposition aux ondes. Elle vivait dans des conditions rudimentaires, sans électricité ni routes accessibles, dans une grange rénovée.
En 2013, Marine Richard a déposé une demande auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) de l’Ariège pour obtenir une allocation liée à son handicap.
Face à ces refus, elle a saisi le Tribunal du Contentieux de l’Incapacité (TCI) de Toulouse en 2014. Après une expertise médicale ordonnée par le tribunal, celui-ci a statué en juillet 2015 que Marine Richard souffrait d’un handicap grave avec un taux d’incapacité évalué à 85 %.
Le jugement a reconnu que ses troubles entraînaient une « restriction substantielle et durable pour l’accès à l’emploi ».
Elle s’est vu accorder une allocation pour adulte handicapé pour une durée initiale de trois ans.
Cette décision a marqué une première en France : c’était la première fois qu’un tribunal reconnaissait officiellement l’électro-hypersensibilité comme un handicap grave.
J’admire Marine pour son combat et sa résilience. Malheureusement, elle a titillé le puissant lobby TELECOM, et cela n’a évidemment pas plu…
Les ondes – l’amiante du 21ème siècle ?
Ce jugement a suscité un débat intense entre les associations militantes, les experts scientifiques et les autorités publiques.
Bien que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ait reconnu dès 2005 que l’EHS est associée à des symptômes réels et variés, l’EHS n’est toujours pas reconnue comme une maladie officielle en France.
Il n’existe aucun recensement officiel des Français électro-hypersensibles, ce problème n’étant pas reconnu en France. Le réseau Une terre pour les EHS comptabilise au 1er juin, 1 016 personnes, chacune d’entre elles s’étant auto signalée sur la «carte nationale du réseau EHS Entraide» (http ://uneterrepourlesehs.org/?carte-recensement-ehs).
Pourtant, un recensement de 5 400 études scientifiques indépendantes publiées, dont une majorité relues par les pairs, démontre que les ondes non-ionisantes ont des effets biologiques. Voici une partie des effets identifiés :
- Tumeurs : cerveau, sein, glandes parotides, leucémies
- Dégâts à l’ADN, inhibition des réparations, stress oxydatif
- Troubles neurodéveloppementaux, comportementaux, autisme
- Altération de la barrière hémato-encéphalique, perturbation du sommeil, fatigue chronique
- Impact sur les systèmes immunitaire, hormonal, circulatoire, nerveux
Mais nos gouvernements ne font toujours rien pour réguler la quantité d’ondes dans notre environnement. Pourquoi ?
Dans les prochains jours, je vais vous dévoiler les dessous du puissant lobby TELECOM et comment une agence internationale secrète ignore volontairement les évidences scientifiques pour poursuivre l’agenda 5G…
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Un deuxième article
Commentaire préalable : l’article intéressant incite à acheter un livre
Le scandale des ondes
C’est comme le scandale des cigarettes
Au siècle passé, les fabricants de cigarettes prétendaient haut et fort que “le tabac est sans danger pour la santé”.
Et à l’époque déjà, des experts médicaux tiraient la sonnette d’alarme, comme Richard Doll, dès 1950.
Mais il a fallu attendre 2004 avant que la vérité éclate au grand jour – et le mal était déjà fait depuis longtemps…
Aujourd’hui, de nombreux scientifiques sont convaincus que l’histoire se répète.
Pas avec le tabac, mais avec les ondes électromagnétiques des téléphones portables, des AirPods (ces écouteurs sans fil), de la Wi-Fi et des antennes 5G.
En 2011, la directrice exécutive de l’Agence Européenne de l’Environnement, Jacqueline McGlade, affirme déjà :
“Ce qu’il s’est passé avec l’amiante, le plomb dans l’essence et le tabac est en train de se reproduire à l’identique avec les ondes électromagnétiques. L’industrie attend des preuves extraordinaires avant de passer à l’action et prévenir des risques pourtant bien connus, et cela mènera forcément à une catastrophe sanitaire et économique. [2]
Elle n’est pas la seule.
Des épidémiologistes très respectés l’affirment : il existe suffisamment de preuves concernant les ondes électromagnétiques et les problèmes de santé pour pouvoir les classifier de Cancérigène de Classe 1 – avec le tabac et l’amiante.[3]
Et ceci n’est qu’un avertissement parmi de nombreux autres.
Dans ma dernière enquête, je brise tous les mythes autour de la 5G et des ondes.
Que ce soit les médias ou ceux qu’on qualifie de “complotistes”, presque tout le monde se trompe à ce sujet.
Je vous donne les faits purs et durs, mais aussi des solutions.
Car nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre que les gouvernements agissent.
https://premium.nouvelle-page-sante.com/enq002
Alors si vous avez un téléphone, des appareils Bluetooth ou si vous vivez près d’une antenne 5G, c’est maintenant ou jamais.
Vous pourrez découvrir les faits que de nombreuses agences de télécom semblent vouloir minimiser.
La dernière fois que nous avons ignoré autant d’évidences scientifiques, cela a coûté d’innombrables vies.
Ne faisons pas la même erreur