Journée internationale
Rassemblement près du marché d’Arras ; entre la place des héros et la grand-place.
A 10 h il sera procédé à une distribution de tracts pour expliquer ce qui nous attend.
Venez nombreux pour ce commencement d’action à propos de ce nouveau produit qu’on veut nous imposer.
Rassemblement à l’appel de :
Collectif Anti-Linky Gazpar et Eau Avionnais (CALGEA 62)
Collectif arrageois pour le climat
Leforest-Environnement
http://leforest-environnement.e-monsite.com/
Collectif Anti Compteurs Communicants Artois-Douaisis (ACCAD)
Deux interventions en radio
- PFM (FM 99.9) : https://www.radiopfm.
- Web radio micro-rebelles : https://www.micros-reb
L’essentiel du contenu du tract qui sera distribué
La 5G est le nouveau standard pour la téléphonie mobile. Elle est censée répondre à l’accroissement de l’offre et de l’utilisation d’objets connectés. Elle est présentée comme la quatrième révolution industrielle.
Cette technologie pose des problèmes fondamentaux
Son installation nécessite la multiplication de relais, d’antennes (tous les 100m en ville) et le lancement de près de 50 000 satellites.
Cette technologie nécessite l’utilisation de métaux rares, difficilement recyclables, accélérant leur extraction dans les pays du sud. Elle accentuera la pollution et l’exploitation des populations locales.
Cette technologie entraînera une augmentation énorme de la consommation d’électricité (3 fois plus d’énergie).
Sur le plan sanitaire, les ondes électromagnétiques augmentent les risques de cancers, de diabète, de pathologies rénale, cardiaque et neurologique. Les personnes électrohypersensibles souffrent déjà beaucoup de ce qui existe aujourd’hui.
Cette technologie est déployée sans aucune réflexion quant à ses conséquences sur le vivant –animal et végétal- et le réchauffement climatique. Elle ne fait l’objet d’aucune concertation avec les élus locaux, de débats parlementaire et/ou citoyen. Le 25 mars –en plein confinement- une ordonnance facilitant l’implantation des antennes-relais a été prise par le gouvernement ; ce qui a permis aux opérateurs de monter rapidement des antennes-relais dans la région.
La crise de la covid-19 a montré les limites et les risques
d’un développement économique à tout prix
Quel monde voulons-nous ?
L’hyperconnection déshumanisée et déshumanisante est-elle un avenir souhaitable ?
Devons-nous accepter une technologie capable de nous surveiller dans tous les gestes de notre vie et de porter atteinte à nos libertés ?
Est-il nécessaire de créer sans cesse de nouveaux besoins sans véritable utilité ?
Cette technologie est superflue et énergivore. Elle est incompatible avec la préservation de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique.
Que faire ?
S’informer et entrer en résistance.
Questionner les élus.
Repenser l’utilisation des objets connectés grands consommateurs d’énergie.
Le monde de demain ne peut pas être un monde uniquement technologique.
Pour lire le tract complet, voir la pièce jointe :
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Cette info est extraite des infos du collectif ACCAD (Anti Compteurs Communicants Artois Douaisis)
Pour en savoir plus :
Il y est notamment fait mention du dernier livre de Nicolas Berard :
5G mon amour
« La France compte plus de cartes SIM en circulation que d’habitant·es, et demain, avec l’arrivée de la 5G, ce seront tous les objets du quotidien qui seront connectés. Les voitures seront autonomes. Les foyers communicants. Les villes « intelligentes ». Mais est-on vraiment sûr que l’utilisation tous azimuts d’ondes électromagnétiques ne présente aucun risque ? Absolument pas, répond Nicolas Bérard au terme d’une enquête sur l’envers de cette « révolution technologique ».
Comment et par qui les normes, censées nous protéger, ont-elles été mises en place ?
Quels liens entre opérateurs téléphoniques, médias et gouvernements ?
Quels sont les effets de cette technologie sur la santé humaine et le vivant ?
À l’aube du développement d’une nouvelle pollution de masse, ces questions ne sont jamais posées dans le débat public. »
Livre en vente en librairie à partir du 9 juin ou auprès du collectif ACCAD.